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La Banque Royale du Canada a dépassé les estimations des analystes après avoir annoncé de solides performances sur les marchés financiers et un ajustement fiscal en faveur de la société.
Les revenus de la banque de financement et d’investissement ont atteint leur plus haut niveau en près de deux ans au quatrième trimestre fiscal, et le bénéfice net de l’unité des marchés de capitaux a grimpé de 36 pour cent par rapport à l’année précédente. Les résultats ont également été aidés par une augmentation de 578 millions de dollars liée aux ajustements d’impôts différés, a indiqué la banque basée à Toronto dans un communiqué jeudi. Le prêteur a gagné 2,78 dollars par action sur une base ajustée au cours du quatrième trimestre fiscal, dépassant l’estimation moyenne de 2,62 dollars des analystes dans une enquête Bloomberg.
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Les provisions pour pertes sur créances ont totalisé 720 millions de dollars, soit plus que les 662,6 millions de dollars attendus par les analystes.
La filiale américaine de la Banque Royale, City National Bank, a déclaré une perte nette ajustée de 89 millions de dollars américains au cours des trois mois se terminant en octobre. Cela fait suite à une perte de 12 millions de dollars au troisième trimestre après que sa société mère a injecté près de 3 milliards de dollars de capital cette année dans la banque basée à Los Angeles, qui a été aux prises avec des sorties de dépôts et un coût de financement plus élevé.
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La transaction a obtenu l’approbation du Bureau de la concurrence, l’autorité antitrust du Canada, mais attend toujours le feu vert de la ministre des Finances, Chrystia Freeland. Les analystes s’attendent généralement à ce que l’accord soit finalement approuvé, mais il se heurte à une opposition des consommateurs et des politiques qui pourrait ralentir le processus.
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