Quoi acheter : Cadillac CTS-V 2004–2007

Extrait du numéro de juin 2023 de Voiture et chauffeur.

Lancée sur les talons de la berline CTS en 2003, la Cadillac CTS-V 2004 était la réponse brutale de General Motors aux BMW M5 et Audi S4 du monde. Nos premières impressions ont été largement positives : un modèle de pré-production faisait preuve à la fois de puissance et d’équilibre, restant une Cadillac sur la route même avec le moteur Corvette sous le capot. Comme nous l’avons dit dans ce test de mars 2004, le CTS-V a montré que « le fait que GM soit mauvais est vraiment très bon ».

Avec le passage au V8 LS2 de 6,0 litres, un différentiel arrière plus puissant et des fonctionnalités supplémentaires telles qu’un toit ouvrant standard, les modèles 2006 et 2007 sont largement plus attrayants que les V précédents.

« La superbe poussée bas de gamme du V-8 à petit bloc offre une délicieuse urgence viscérale aux sorties de virage, ainsi qu’un accompagnement auditif de baryton cuivré. » – Tony Swan, CDmars 2004

Moteur

Les CTS-V 2004 et 2005 utilisaient le V8 LS6 de 5,7 litres de la Corvette C5 Z06, produisant 400 chevaux et 395 livres-pied de couple. Une transmission manuelle à six vitesses Tremec faisait tourner les roues arrière. Nous ne pouvions pas reproduire les sprints de 60 mph revendiqués par GM avec la CTS-V de pré-production que nous avons testée, grâce à quelques sauts de roue que nous avons expérimentés en sortant de la ligne. Cadillac a amélioré ce problème, mais ne l’a pas éliminé, au moment où nous avons testé la CTS-V 2005 avec la Mercedes-Benz C55 AMG et l’Audi S4, où elle a enregistré un temps de 4,8 secondes.

La CTS-V 2006 a connu un changement majeur avec le passage à un V8 LS2 de 6,0 litres. La puissance est restée la même, mais le couple maximal est arrivé à 4 400 tr/min au lieu de 4 800. La CTS-V a fait une brève pause après l’année modèle 2007 ; le suivi a fait ses débuts en tant que modèle 2009 et a finalement inclus le CTS-V Sport Wagon, pour le plus grand plaisir des passionnés de voitures du monde entier.

Valeur

La CTS-V de première génération était un peu un dormeur et un vol à côté de la concurrence allemande de son époque, et son prix reste élevé en comparaison aujourd’hui. Le hic, c’est qu’avec seulement 8802 construits, il n’y a pas beaucoup de choix. Les ventes récentes suggèrent que vous allez atterrir dans les 20 000 $. Ce n’est pas nécessairement bon marché, mais c’est loin des 40 000 $ à 80 000 $ (et parfois plus) que de nombreux CTS-V de deuxième génération récoltent ces jours-ci.

Zones problématiques

Recherchez les problèmes de différentiel dans tous les modèles CTS-V de première génération, mais surtout dans les années 04 et 05, qui sont plus sujettes aux catastrophes sous la pression de ce moteur Vette. Les deux LS V-8 peuvent avoir soif d’huile, mais le LS6 avait une couverture de vallée sujette aux fuites.

GM a émis divers rappels pour la CTS-V de première génération et a même proposé d’installer le dernier différentiel dans les voitures antérieures aux frais du propriétaire. Il vaut la peine d’amener n’importe quelle CTS-V chez un concessionnaire GM pour une inspection approfondie. Il existe un marché secondaire solide pour la CTS-V de première génération, avec une grande communauté de propriétaires actifs sur les forums, offrant des solutions aux problèmes connus.

Jean Roe|Voiture et chauffeur

Ventes récentes

Cadillac CTS-V 2007 (novembre 2022)
Prix ​​: 24 250 $ Kilométrage : 54 000 milles
Cadillac CTS-V 2006 (mars 2023)

Prix ​​: 20 900 $ Kilométrage : 71 000 milles
Cadillac CTS-V 2004 (septembre 2022)

Prix ​​: 23 000 $ Kilométrage : 59 000 milles
(Ventes de Apportez une remorque.)

Cadillac CTS-V 2005
V8 de 5,7 litres de 400 chevaux, manuelle à 6 vitesses, 3907 lb
Résultats de test
100 km/h : 4,8 s
100 mi/h : 11,4 s
1/4 de mile : 13,2 s à 109 mph
Vitesse maximale : 161 mph
Freinage, 70-0 mph : 167 pieds
Tenue de route, Skidpad 300 pi : 0,90 g
De C/D, novembre 2004. Les temps d’accélération respectent notre ancienne règle de déploiement de 3 mph.

Portrait de James Tate

Éditeur collaborateur

James Tate écrit sur les voitures de manière professionnelle depuis 2004, mais l’obsession s’est installée avant qu’il ne puisse se tenir debout. C’est un Luddite dans l’âme, c’est donc la tactilité et l’expérience de conduite des voitures d’hier qui l’attirent vraiment, mais une appréciation de l’ingénierie soutient son intérêt pour les choses modernes. L’écriture de Tate est apparue dans Route & Piste, Mécanique populaire, Automobile, Autoweek, et d’autres.

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