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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Collins, Kathleen. Qu’est-il arrivé à l’amour interracial? New York, Harper Collins, 2016. Broché.
L’introduction d’Elizabeth Alexander met en place le climat politique et artistique des jeunes intellectuelles noires des années 1980, situant le travail de Kathleen Collins dans ce contexte et préparant le lecteur à certaines des idées significatives des histoires.
« Extérieurs » : Un réalisateur installe et tourne l’histoire d’une histoire d’amour dans un petit appartement délabré.
« Intérieurs » : Un mari et sa femme livrent des monologues expliquant leurs réactions face à son infidélité. Il essaie de s’expliquer pendant qu’elle essaie de se comprendre à travers une série de passe-temps malheureux.
« L’oncle » : Une femme raconte l’histoire de son oncle, un ancien athlète noir qui consacre sa vie à sa déception.
« Comment dit-on » : une jeune femme noire retrouve confiance en elle et apprend à accepter sa propre beauté lors d’une liaison avec un professeur à l’école d’été française.
« Only Once »: Un jeune homme en quête de sensations fortes et sa petite amie luttent contre l’amour et le risque.
« Qu’est-il arrivé à l’amour interracial? » : Une génération de jeunes instruits vivant à Manhattan poursuit des relations interraciales et un changement social à l’été 1963, pour être déçu lorsque le changement et l’intégration s’avèrent beaucoup plus difficiles que prévu.
« Conference: Parts I and II »: Deux jeunes femmes livrent des monologues contrastés sur leurs expériences amoureuses infructueuses à la Conférence nationale des étudiants à Minneapolis, toutes deux avec de jeunes hommes noirs ambitieux et à la peau claire.
« The Happy Family »: Un narrateur blanc d’âge moyen tente d’expliquer la nature de la seule « famille vraiment heureuse » qu’il ait jamais rencontrée, malgré le destin tragique qui leur arrive.
« Traitement pour une histoire »: Une femme rend visite à son amant mais trouve son égocentrisme et son appartement encombré oppressants.
« Stepping Back »: Une femme noire aisée et cultivée rencontre enfin un homme noir aussi élégant qu’elle, pour être contrecarrée par les stéréotypes de la sexualité féminine noire.
« Quand l’amour dépérit toute la vie pleure »: dans le style d’un scénario de film, un homme se souvient d’une chance manquée à l’amour lorsqu’il a dû choisir de donner la priorité à l’exploration de soi ou à l’installation.
« Broken Spirit »: Un journaliste nouvellement arrivé aux États-Unis en provenance d’Afrique du Sud lutte contre le mal du pays et son sentiment d’être pris au piège.
« Style documentaire »: Un cinéaste noir fraîchement sorti de la marine travaille avec enthousiasme à son premier travail de caméraman, seulement pour être vaincu par son agressivité et sa conviction qu’il est sous-estimé.
« Lifelines » : Une femme dont le mari l’a quittée continue d’échanger des lettres avec lui alors même qu’elle poursuit une vie indépendante et plus épanouie, guidée par une rencontre avec un voyant.
« Des poètes, des galeries, des passages new-yorkais » : un dramaturge et poète revient à New York pour rendre visite à des amis et, lors d’une conversation en soirée, ils se défient mutuellement de leurs idées sur la mémoire, l’art et la féminité.
« Dead Memories… Dead Dreams »: Lillie, la fille choyée d’une riche famille noire à la peau claire, choisit d’épouser un homme plus sombre de statut social inférieur. Après sa mort, sa fille doit naviguer dans les attentes sociales et les préjugés de son père et de la famille de sa mère alors que chacun cherche à prendre de l’ascendant.
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