Qu’est-ce que la « graysexualité » ? Une revue médicale canadienne reconnaît une orientation sexuelle moins connue

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Dans un nouvel article, la principale revue médicale canadienne a reconnu la « sexualité grise », une orientation sexuelle relativement nouvelle qui est un sous-ensemble de l’asexualité.

Le Journal de l’Association médicale canadienne article publié le 4 décembre définit la sexualité grise comme « éprouver une attirance sexuelle rarement ou dans des circonstances spécifiques ».

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La définition est apparue dans un article sur l’asexualité, « un terme générique » faisant référence à ceux qui ne développent une attirance sexuelle que lorsque les besoins de lien émotionnel sont satisfaits ou à ceux qui sont grissexuels. L’article cite le Journal of Gay & Lesbian Mental Health en référence à la sexualité grise.

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Il continue en décrivant les défis de ceux qui sont asexuels. Cela peut inclure le stress mental et le sentiment de stigmatisation dû à la discrimination, affirment les chercheurs.

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« Les personnes asexuelles ont également des caractéristiques physiques et santé sexuelle besoins, comme naviguer dans l’excitation sans attirance et apprendre à fixer des limites dans les relations », ajoutent-ils.

De nombreuses personnes asexuelles ont déclaré avoir été traitées comme souffrant d’un trouble dans des établissements de santé, ce qui peut conduire à éviter les soins médicaux, écrivent les auteurs.

Les prestataires de soins de santé peuvent employer un langage plus inclusif pour éviter la stigmatisation, ajoutent-ils.

« Utiliser ‘si’ plutôt que ‘quand’ pour les questions sur le sexe… permet aux patients de s’identifier (et) d’éviter de supposer que le manque de relations sexuelles est problématique », sont des moyens de fournir de meilleurs soins aux personnes asexuelles, selon les auteurs.

Les médecins devraient aller au-delà de la simple fourniture de soins médicaux et également jouer un rôle plus actif dans le soutien aux personnes asexuelles, ajoutent-ils.

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« Connecter les patients aux communautés asexuelles ; veillez à ce que les approches soient spécifiques aux asexués plutôt que généralisées à l’ensemble de la communauté LGBTQIA2S+ », conseille l’article.

Sur 30 pays étudiés, 1 pour cent de la population est asexuelle, selon un sondage Ipsos publié plus tôt cette année.

Selon l’article, les personnes demisexuelles et grises pourraient toujours « avoir des relations sexuelles et éprouver une attirance romantique ».

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