lundi, novembre 18, 2024

quelque part entre ombre et lumière par Mariesa Faer – Critique par Kristiana Reed

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quelque part entre

ombre et lumière

une âme grandit

se déployant au milieu des éléments

une âme vient à connaître

lui-même

quelque part entre

ombre et lumière

à ceux qui

a tenu ensemble les éclats de mon âme brisée

pendant que j’ai collé à travers des larmes épicées

m’a guidé à travers mes cauchemars

et se tenait immobile à côté

alors que je criais les douleurs

d’un coeur perdu

Ceci est pour vous

éléments :

ombre

entre

léger

ombre

l’obscurité se construit

ça s’accumule tout autour

si tu le laisses

et tu ne le vérifies pas

il va essayer de te faire tomber

je dors

dans le ventre

d’une grande bataille

parfois

les ricanements

vues et histoires de vie

entrer furtivement

et me secoue éveillé

saluer mes yeux d’ajustement

avec une pointe de tension

comme une peau gelée

sur peau humide et dormante

INSOMNIE

je bois et fume

et piquer tout autour

dans ma bouche

une tentative vaine

soulager une tension

j’ai écrit pour moi

SI SEULEMENT JE POUVAIS TROUVER LA GOMME

il y a une étanchéité

dans ma poitrine

tirant de la gorge au nombril

m’appelant à adresser

ce qui fait que mon âme s’effondre

SIGNES SOMATIQUES

mes angoisses

remplir mon esprit

et me faire oublier

tout le temps

comme il passe

sous les ombres

de mes yeux

DISTRACTIONS

je vois le déni

derrière leurs yeux

ils regardent à travers la cécité

alors que mon esprit pleure

je ne peux pas

continue de dire non pour toujours

alors j’irai

– créer de la distance –

éviter

briser les coeurs qui tiennent

moi trop près

et étouffer sans voir

la douleur qu’ils causent

de trop de dépendance

ce qu’ils se trompent

comme libérateur

CODÉPENDANCE

je trancherais ma tristesse

chair de poule par chair de poule

mais remarquerais-tu les cicatrices

ou simplement supposer que j’ai

le chat se gratte

mes avant-bras

HAINE DE SOI

ma femme a mal en prévision

pour la douleur dont ils ont hérité

pour l’amour de la déesse

j’en voudrais un autre

Je suis sur une interdiction de datation

J’ai des éclats de vagin de tous les

mauvais bois j’ai travaillé

dans la boutique

oh je sais que je peux te plaire

donne moi juste une minute

m’ajuster

te rendre heureux

pour te faire sentir

comment je sais que tu aimes

avec le plus léger

le moindre contact que je peux

forcer les bonnes choses

pendant que je me cache derrière

notre intimité

les escaliers sautent

devant mes yeux fumants

ma vision tremble

le sol tremble

sous tes tas de mensonges

COMBATS

j’ai dormi dans la neige

la nuit dernière

toujours

il faisait plus chaud

que d’être avec toi

RANCŒUR

écrase-moi

comme une mouche

trop de fois

et je pourrais juste mourir

MÉPRIS

faire des émotions comme ça

vous tuer

les émotions peuvent-elles être aussi fortes

te faire tomber

?

COMMENT SUIS-JE ENCORE ICI

CORTISOL

ténèbres et lumière parfois

se confondre

derrière

mes paupières

la nuit

comme

ce lent

chose rampante

ça me hante

pendant que je rêve

refuse de décider

si je survivrai

ou me descendre

avant le prochain lever de soleil

mon hyper – prise de conscience

Couché sur moi comme un film

une rosée

vitreux

film pelable

Bien sur

je l’étire et

tirez dessus et

en retirer une partie

pourtant il est là

interdire

que pourrait être

grandeur

même quand je conduis

tout seul dans ma voiture

l’anxiété s’installe

ce n’est jamais trop loin

et je me demande

que resterait-il de moi

sans cette anxiété

LIBERTÉ

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