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« What to Listen for in Music » est un livre considéré comme un classique parmi les musiciens et les mélomanes, qu’ils soient autodidactes ou formés. Aaron Copland était un compositeur, musicien et professeur de renommée mondiale. Ce livre a été élaboré à partir d’une série de conférences données par Copland dans une école à charte innovante de New York, appelée la New School. Bien que les conférences aient commencé en 1937 et que le livre ait été publié en 1939, les définitions, les orientations et les conseils de Copland sont toujours aussi pertinents aujourd’hui qu’ils l’étaient à l’époque. Bien que beaucoup diraient que la musique a radicalement changé depuis la dernière révision du livre en 1957, les observations générales de Copland sur l’orientation de la musique, en particulier de la musique contemporaine, sont tout à fait justes.
Bien que Copland soit un expert dans son domaine, « What to Listen for in Music » n’est en aucun cas un traité académique. En fait, l’auteur explique parfaitement dans la première partie du livre qu’il n’est pas nécessaire d’être un expert ou même un très bon musicien pour écouter et apprécier ce que l’on entend. Le ton de Copland est celui d’un mélomane qui a plus d’expérience dans ce domaine et qui est désireux de partager ses connaissances et ses conseils. L’approche de Copland est tout à fait rafraîchissante et amicale, encourageant le lecteur à poursuivre et à absorber autant d’informations que possible. Certaines parties sont un peu laborieuses et techniques. Cela est souvent nécessaire pour que le lecteur puisse comprendre le sens de certains aspects de la musique, comme l’harmonie, la texture physique et des formes musicales spécifiques comme la fugue et le basso ostinato.
L’auteur n’affirme pas et ne s’attend pas à ce qu’après avoir terminé le livre, l’amateur de musique en herbe reconnaisse soudainement toutes les formes ou fonctions de la musique. Copland explique très clairement que la seule façon d’apprendre véritablement à apprécier la musique, au-delà des connaissances de base, est d’écouter. L’écoute répétée de n’importe quelle forme de musique augmente la conscience de l’auditeur, et même si cela ne vient pas du premier coup, l’auditeur commencera à identifier le style spécifique du compositeur.
Copland souligne également un autre point crucial : les gens ont tendance à aborder différents types de musique avec la même année. C’est une erreur. On ne peut pas comparer les œuvres de grands maîtres comme Bach à celles de compositeurs plus contemporains comme Roy Clark ou Bono.
Dans l’ensemble, « Ce qu’il faut écouter dans la musique » est une lecture incontournable pour quiconque, quelle que soit son expérience, souhaite apprécier la musique dans son intégralité.
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