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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Kandasamy, Meena. Quand je te frappe : ou, portrait d’une écrivaine en jeune épouse. Éditions Europa, 2017.
Avertissement sur le contenu : ce roman dépeint de manière vivante des scènes d’abus physiques, verbaux et sexuels. Le viol et la violence sont décrits en détail et des termes péjoratifs pour l’anatomie féminine sont utilisés. Des résumés de ces détails sont inclus dans ce résumé de l’intrigue ainsi que dans l’ensemble de ce guide d’étude car ils sont essentiels au déroulement de l’intrigue.
Quand je te frappe : ou, portrait d’une écrivaine en jeune épouse est un roman de Meena Kandasamy qui se déroule dans l’Inde moderne. Le protagoniste du roman est anonyme, tout comme son mari. Au début du roman, le couple a déménagé dans une nouvelle ville pour que le mari commence un travail d’enseignant dans un collège local. Le plan est que la femme continue son travail d’écrivain et commence à enseigner une fois qu’un nouveau semestre commencera. Elle ne parle pas la langue.
Peu de temps après le mariage, le mari commence à maltraiter la narratrice. Cet abus commence par l’éloigner de ceux qu’elle aime. Il la convainc de désactiver son compte Facebook, puis de lui donner son mot de passe de messagerie. Il lui montre qu’il signe tous ses e-mails, professionnels et personnels, avec leurs deux noms. Elle apprend plus tard qu’il répond à certains de ses e-mails sans le lui dire. Tout cela lui donne l’impression de perdre son identité.
Sa carrière en pâtit car elle apprend qu’elle ne peut pas enseigner à l’université, car l’université n’autorise qu’une seule personne par famille à y travailler. Malgré tout, son mari la laisse donner des cours dans l’un de ses cours, mais les étudiants se passent une note sur la façon dont ses cheveux sont négligés, une attitude qui trouve son origine dans la colonisation de l’Inde. Son mari se met en colère lorsqu’elle lui en parle et lui en fait porter la responsabilité. La désactivation de son compte Facebook nuit à sa carrière car elle reste dans le collimateur des gens grâce aux réseaux sociaux. Mais finalement, son mari supprime également tous ses e-mails. Elle perd ainsi tous ses brouillons ainsi que tous ses contacts professionnels. Il ne lui permet alors que trois heures par semaine sur Internet, et tout cela en sa présence. Pour garder un semblant de contrôle, quand il est parti, elle écrit des lettres à des amants imaginaires et les supprime avant qu’il ne puisse les voir.
Avant son mariage, la narratrice était l’amante secrète d’un politicien célibataire. Cette relation devait rester secrète car les gens ne faisaient confiance qu’aux politiciens célibataires. Les deux s’aimaient, mais le politicien était nettement plus âgé qu’elle. La relation a pris fin lorsqu’il a été amené à l’hôpital en urgence, et elle a été la dernière à le savoir. Lorsqu’elle est finalement arrivée, il a refusé de la reconnaître. Cela lui a brisé le cœur, et lorsqu’elle a rencontré l’homme qui allait devenir son mari, il l’a fait se sentir en sécurité et il a voulu l’épouser ; c’est ce qu’elle voulait. De cette façon, elle considère le mariage comme un mélange entre un mariage arrangé et un mariage d’amour.
Le mariage ne dure que quatre mois, mais le mari devient violent physiquement et verbalement. Il l’appelle de nombreux termes désobligeants tels que « pute » et « connasse », et il utilise ses expériences sexuelles passées contre elle pour l’humilier et la faire honte. Il la bat avec des objets comme le câble de son Macbook, la frappe, lui donne des coups de pied et la viole à plusieurs reprises et brutalement. Il exige qu’elle ne manifeste aucun plaisir sexuel et il utilise le viol comme punition pour essayer de corriger son comportement.
Durant ces quatre mois, la narratrice raconte à ses parents les abus dont elle a été victime, et ils l’encouragent à rester mariée. Finalement, lorsque le mari annonce à la narratrice qu’il va lui trancher la gorge avec un couteau, elle en parle à ses parents ainsi que des détails qu’elle avait omis auparavant. Ils lui disent enfin que s’il menace à nouveau de la tuer, elle devrait partir et venir directement vers eux. À ce stade, la narratrice sait comment mettre son mari en colère. Elle provoque sa colère mais l’émascule aussi au point qu’elle sait qu’il ne se sent pas assez fort pour la tuer. Il l’attrape par le cou et la maintient au sol, puis lui écrase le visage contre le sol avec son pied pendant qu’il la bat, mais après, elle parvient à s’échapper et retourne chez ses parents.
Elle essaie d’obtenir justice après son départ, mais cela s’avère difficile. Son mari est prié de démissionner de son emploi, mais il se fait un nom en tant qu’activiste. Il se trouve une nouvelle petite amie. La narratrice veut de l’amour, mais elle a aussi peur d’être blessée et contrôlée. Finalement, sur ordre de son père, elle quitte la ville pour se construire une nouvelle vie. Elle continue d’écrire et c’est en écrivant qu’elle se sent le plus en sécurité car personne ne peut violer son corps écrit ; seul son corps physique est en danger de violence.
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