Q + A REPLAY : Relisez notre conversation sur la façon d’améliorer les soins de santé pour les personnes âgées

La semaine dernière, le

Citoyen d’Ottawa

a publié le livre profondément personnel et percutant d’Elizabeth Payne

lecture longue à la première personne La chute.

Journaliste spécialisée dans la santé de longue date, Payne écrit qu’elle a vu son père de 90 ans, dynamique et indépendant, se détériorer lentement dans un système de santé en difficulté après une chute et une fracture du bras. Il a passé des jours sur une civière des urgences, des mois à l’hôpital, puis en cure de désintoxication et enfin dans un établissement de soins de longue durée. Les longues attentes, le manque de personnel, la surpopulation, les épidémies de COVID et les établissements non formés aux meilleures pratiques en matière de soins aux personnes âgées ont tous contribué à ses difficultés.

Les chutes sont fréquentes chez les personnes âgées et annoncent souvent une détérioration de leur état de santé. C’est la cause de 85 pour cent de toutes les hospitalisations liées à des blessures chez les personnes âgées au Canada, selon Santé Canada. Et les tarifs ont augmenté.

Pour les personnes âgées, entrer à l’hôpital peut être extrêmement dangereux.

Pour chaque jour qu’une personne âgée passe au lit, il lui faut deux jours pour retrouver la force et les fonctions perdues. Il faut également seulement huit heures allongé sur une civière pour que la peau d’un patient âgé et fragile commence à se dégrader, ce qui pourrait entraîner des escarres débilitantes ou des escarres. Les temps d’attente habituels dans de nombreux services d’urgence de l’Ontario approchent la barre des 20 heures, mais peuvent parfois être plus longs.

Source link-31