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Purity and Danger de Mary Douglas traite des cultures primitives et modernes, explorant diverses manières dont elles organisent leur vie sociale à travers des approches spécifiques des rituels, de la saleté et de la pollution.
Les préjugés envers les cultures primitives considérées comme inférieures peuvent être attribués aux approches antérieures traitant de modèles communs entre elles plutôt que de leurs structures sociales. Les idées initiales selon lesquelles les cultures primitives affichent la peur et l’incompréhension parce qu’elles doivent faire face à l’immédiateté de leur environnement ont été rejetées. À travers leur approche de l’hygiène et de la pollution, les structures communautaires externes et internes sont examinées. La plupart des cultures ont des moyens de protection de leur ordre social par la classification et la préservation de la pureté. La classification et la pureté des aliments sont les éléments les plus importants pour maintenir une telle pureté dans le cadre de la santé, de l’intégralité et de la sainteté. Les cultures primitives adoptent une vision personnelle de l’univers susceptible d’intervenir dans leurs affaires.
La saleté représente le danger par le biais d’un désordre qui est de nature informe et a la capacité de changer les frontières. De telles frontières doivent être protégées contre les entrées injustifiées, où la pureté assure la préservation de l’ordre social. Les frontières des castes sont protégées par l’application de la virginité et une restriction prudente de ceux qui peuvent accéder à des castes spécifiques tout en reflétant diverses fonctions du corps, allant des nettoyeurs aux dirigeants. La société et l’ordre social sont menacés par les États transitoires et marginaux.
Comme la saleté représente le pouvoir et la créativité, la pureté représente la rigidité et l’absence de changement. La pollution et la saleté forment un pouvoir qui ne peut être exploité que par des rituels. Malgré le rejet de la saleté et de la pollution par la plupart des religions, les religions primitives dévoilent que, par paradoxe et contradiction, la saleté est nécessaire pour remplacer ce qui a été rejeté, en incorporant le processus de renouvellement. La nécessité de la mort exige à la fois son rejet et sa confrontation. Ces pratiques exposent une approche réaliste de la vie par les cultures primitives, qui voient le monde d’une manière unifiée où les forces cosmiques préservent et maintiennent l’ordre social dans le cadre de la nature.
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