Punks : poèmes nouveaux et sélectionnés


La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Keene, John. Punks : poèmes nouveaux et sélectionnés. La Grotte des Chants, 2021.

Celui de John Keene Punks : poèmes nouveaux et sélectionnés est un recueil de 99 poèmes. Les pièces ci-jointes sont organisées en sept sections intitulées. Ces sections servent de parapluies thématiques pour les œuvres incluses. Chacun des poèmes du texte adopte une approche distincte de la forme, du langage, du style, du ton et du point de vue. Le résumé suivant offre une description simplifiée de chaque section, des pièces jointes et de leurs thèmes généraux.

Dans « Playland », l’auteur présente 24 poèmes intitulés. Dans ces pièces, l’auteur utilise le point de vue à la première personne. Cela signifie que la voix d’un locuteur à la première personne dicte les paramètres de chaque œuvre. Dans des poèmes comme « Mission and Outpost », « The Haymarket », « Je Te Veux », « Nights of 1985 » et « Elegy : Boston », l’orateur est avant tout aux prises avec des questions de mémoire et de passé. Des établissements ou des villes particuliers ont le pouvoir de transporter l’orateur dans le temps. Ces décors lui rappellent les personnes qu’il a aimées ou les expériences qu’il a vécues autrefois. Dans des poèmes comme « Suit », « À la réception d’une lettre estampillée « Décédé » », « Annuaire téléphonique » et « Lignes », l’orateur est confronté aux problèmes de mort et de perte, de chagrin et de chagrin. Soit l’orateur a appris le décès d’un être cher, il a du mal à se souvenir des noms des morts, il essaie de se remettre de son chagrin ou il se sent coupable de la fin de ses anciennes amitiés et relations. De cette manière, l’auteur considère la perte et le chagrin sous différents angles poétiques.

Dans « Le Monde Perdu », l’auteur présente 18 poèmes intitulés. Les poèmes de cette section se concentrent particulièrement sur les questions d’amour, de sexe, de romance et d’intimité. Des poèmes tels que « Essayez de vous souvenir de cet homme sud-africain », « Vous avez de petites mains pour un frère », « Les gens ont raison, mon nez était grand ouvert », « Ces yeux endormis m’attrapent à chaque fois », « C’est un Kiki, Pas un interrogatoire », et « À genoux dans les grottes qui murmurent », l’orateur essaie soit de se souvenir d’un vieil amant, soit d’interagir avec un amant potentiel dans un bar, de réfléchir à l’impossibilité d’écrire sur un amant, de s’approcher et de rentrer chez lui. avec un nouvel amant, discuter d’amour et de sexe avec un ami ou visiter un lieu de croisière avec un autre compagnon.

Dans « Dix choses que je fais chaque jour », l’auteur commence à introduire des thèmes plus politiques et culturels. Les poèmes rassemblés dans cette section traitent toujours des questions de perte, de mémoire et de sexe, tout en commençant à contextualiser à nouveau ces notions. Les derniers poèmes de la section considèrent particulièrement les notions de silence, d’art et d’activisme.

Dans « Trees », l’auteur présente huit poèmes qu’il a écrits en collaboration avec une artiste nommée Cynthia Gray. Les poèmes ci-joints éliminent en grande partie les pronoms à la première personne du locuteur. Ces pièces centralisent l’observation, l’étude et la réflexion. Des images savamment travaillées d’arbres, d’ombres, de soleils et de plages inspirent les réflexions de l’orateur sur l’amour, la vie et le temps.

Dans « Manzanita », l’auteur présente huit autres poèmes. Ces pièces s’éloignent du point de vue à la première personne et utilisent le plus souvent la perspective à la troisième personne.

Dans « Dark to Themselves », 14 pièces ci-jointes se concentrent sur des questions historiques et politiques, notamment en ce qui concerne l’expérience des Noirs américains. Des pièces telles que « Vesey on the Eve », « Carver, One Evening, in Tuskegee », « Alain Locke in Stoughton Hall », « Jackie Robinson in Sportsman’s Park, 1949 » et d’autres se concentrent sur la vie et les expériences d’éminents personnages historiques noirs. Les figures. Dans certaines de ces œuvres, l’auteur adopte le point de vue du personnage à la première personne. Dans d’autres, il commente leur vie, leurs réalisations et leurs contributions à la culture noire.

Dans la dernière section du recueil, « Mots », l’auteur présente neuf poèmes qui centralisent les possibilités du langage, de la poésie et de la musique. L’auteur joue avec les notions conventionnelles de grammaire, de syntaxe, de forme et de structure tout au long de cette section. Ces œuvres mettent donc en scène la manière dont le démantèlement de l’anglais américain traditionnel pourrait être une voie vers la libération et l’expression des Noirs.



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