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Ce n’est pas seulement parce que le financement de la crise incontrôlable des opioïdes a été dirigé vers ceux qui promeuvent des politiques radicales et non éprouvées. Les partisans de l’expérience vouée à l’échec de la décriminalisation des drogues en Colombie-Britannique investissaient personnellement dans des entreprises pour fournir des opioïdes aux toxicomanes, profitant d’une crise sociale massive, comme le raconte cette semaine le psychologue de Vancouver Julian Somers à Brian Lilley. Pendant ce temps, les dirigeants promouvant un « approvisionnement toujours plus sûr » sont devenus plus amicaux avec les producteurs pharmaceutiques. Somers, spécialiste des toxicomanies, explique comment cet abandon complet des principes de réduction des méfaits, y compris toute focalisation sur le rétablissement, a créé la catastrophe qui a poussé la Colombie-Britannique à inverser désespérément sa trajectoire – alors même que d’autres gouvernements canadiens envisagent de répéter ses erreurs. (Enregistré le 2 mai 2024.)
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