Priscilla Early Buzz : Sofia Coppola explore le côté d’Elvis Baz Luhrmann évité

Priscilla Early Buzz : Sofia Coppola explore le côté d'Elvis Baz Luhrmann évité

Fans de « Marie-Antoinette », celui-ci est pour vous ! Il semble certainement que Sofia Coppola ait fait preuve du même niveau de sensibilité et d’émotion que dans son film mettant en vedette Kirsten Dunst, du moins selon Kyle Buchanan du New York Times. Dans un court fil de messages sur Twitteril a déclaré : « Avec PRISCILLA, Sofia Coppola a réalisé une version américaine de MARIE ANTOINETTE des années 60 et espérons que vous êtes tous d’accord avec celle-ci dès le départ car elle est incroyable. »

Selon la plupart des témoignages, « Priscilla » sera également comme une bouffée d’air frais pour ceux qui n’ont pas pu embarquer avec la version extravagante et exagérée d’Elvis de Baz Luhrmann en 2022. Selon la critique d’IndieWire par David Ehrlich,  » Le spectacle spasmodique de Luhrmann a peut-être enfin atteint son objectif, car il fournit désormais un contexte utile pour un nouveau film qu’un autre artiste majeur a réalisé sur l’ancienne reine du Roi. Il prend soin de noter qu’il ne pense pas que ce soit l’un des meilleurs films de Coppola, le décrivant comme « vague », « éparpillé » et « sombre », mais la critique largement positive offre beaucoup plus d’éloges pour ce que le cinéaste accomplit concernant le tumultueux film de Priscilla. relation avec une icône aussi imparfaite qu’Elvis.

Hannah Strong de Little White Lies observe également les tensions entre le film de Coppola et celui de Lurhmann : « Si l’extravagance musicale de Baz Luhrmann en 2022 était un regard éblouissant sur une icône américaine, « Priscilla » en est peut-être le reflet : un conte de fées mélancolique sur le premier amour et mythologie durable. Rafa Sales Ross d’IGN fait écho à ces pensées, félicitant Coppola pour avoir ajouté une nuance indispensable à la relation centrale complexe du film. « Aller au-delà du simplisme, c’est exactement ce que fait Coppola avec sa production A24, qui met explicitement en évidence ce déséquilibre des pouvoirs sans avoir besoin de définir Priscilla uniquement comme une victime impuissante. »

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