Athena, la fille de la princesse Beatrice, est née prématurément le 22 janvier, pesant 4 livres et 5 onces. Beatrice partage ses émotions et ses inquiétudes face à cette expérience inattendue dans un article du ‘Vogue’ britannique. Elle souligne l’importance des avancées médicales pour gérer les naissances prématurées et exprime son engagement à soutenir les familles touchées. Finalement, elle se réjouit de la santé de sa fille, tout en plaidant pour davantage de recherche sur les défis de santé des femmes.
Athena, la petite fille de la princesse Beatrice, âgée de 36 ans, a fait son entrée dans le monde le 22 janvier, bien plus tôt que prévu. À sa naissance, elle pesait seulement 4 livres et 5 onces, soit environ deux kilogrammes, un poids inférieur à la norme de 3,5 kilos. Dans un article publié par le ‘Vogue’ britannique, accompagné d’une tendre photo de Beatrice tenant sa fille dans ses bras, la princesse a partagé son expérience de cette naissance prématurée.
Les Émotions de la Princesse Beatrice
Dans son essai, Beatrice évoque la surprise et l’angoisse que provoque l’annonce d’une naissance prématurée. ‘Personne ne vous prépare à réaliser que votre bébé va arriver trop tôt’, confie-t-elle. Elle aborde les inquiétudes qui l’ont assaillie : ‘Est-ce que tout ira bien ? Y aura-t-il des complications ? Comment jongler avec la vie de famille tout en veillant à la santé de ce petit être fragile ?’ Mariée à Edoardo Mapelli Mozzi depuis 2020, elle souligne l’incertitude qui accompagne cette expérience, générant une peur écrasante face à l’inconnu.
Beatrice a appris énormément de cette seconde grossesse. Après divers examens, il est devenu clair que son précieux bébé nécessitait une attention particulière, entraînant une préparation à une arrivée anticipée. ‘J’ai découvert tant de choses sur notre incroyable corps, mais surtout sur ce que nous ignorons encore’, déclare-t-elle.
Elle souligne l’importance des progrès technologiques qui permettent aux professionnels de la santé, tels que médecins et sages-femmes, de mieux gérer les complications liées aux naissances prématurées. En tant qu’optimiste technologique, elle s’engage à aider les femmes du monde entier à trouver des réponses. En tant que marraine royale de la Borne Foundation, elle souhaite rassurer les familles concernées par la prématurité, leur montrant qu’elles ne sont pas seules dans ce combat.
La princesse Beatrice mentionne également que les naissances prématurées touchent de nombreuses familles, entraînant des défis similaires aux siens. ‘J’ai trouvé du réconfort en étant ouverte avec ma famille, mes amis et d’autres mamans, en cherchant à apprendre le plus possible. Chaque histoire est unique, mais souvent, nous partageons des expériences communes qui nous rapprochent’, explique-t-elle.
Les Larmes de Soulagement de la Princesse Beatrice
Athena est finalement née quelques semaines avant son terme, en bonne santé. ‘Elle était si petite qu’il a fallu un certain temps avant que mes larmes de soulagement ne sèchent et que la réalité d’avoir un bébé en bonne santé s’installe. Ses pieds étaient si minuscules, presque de la taille des pattes d’un des jouets en peluche de ma fille aînée’, se remémore-t-elle avec tendresse.
En conclusion de son article, Beatrice partage sa conviction que la recherche sur les défis de santé auxquels les femmes font face est essentielle. ‘Peut-être que l’âge et l’expérience m’ont rendue plus sage, ou peut-être que l’épreuve de la maladie de ma mère l’année dernière y est pour quelque chose. Mais ce qui compte vraiment, c’est de soutenir la recherche nécessaire pour que mes filles ne rencontrent pas ces défis’, espère-t-elle.
Sa sœur, la princesse Eugenie, a exprimé sa fierté envers Beatrice en partageant l’article sur Instagram, tout comme leur mère, Sarah Ferguson, qui a également mis en avant l’histoire de sa fille. Athena Elizabeth Rose est la seconde fille de Beatrice et Edoardo Mapelli Mozzi, qui ont déjà une fille de trois ans, Sienna. Edoardo a également un fils de huit ans, Christopher Woolf ‘Wolfie’, issu d’une précédente relation.