Pourquoi le film Five Nights At Freddy’s n’est pas aussi dur en matière de frayeurs que le jeu

Freddy Fazbear on stage singing in Five Nights at Freddy

Il existe de nombreux récits complexes qui rendraient extrêmement déroutants adaptations de jeux vidéodepuis Disco Elysée à Immortalité à Anneau ancienmais le monde de Cinq nuits chez Freddy semblait parfaitement mûr pour des extensions cinématographiques. Au-delà des personnages animatroniques prêts à photographier, FNAFLes intrigues et les personnages en évolution de sont désormais suffisamment massifs pour potentiellement alimenter une franchise ouverte sur grand écran. On est loin des débuts relativement limités des créations du développeur Scott Cawthon, qui reposaient fortement sur des sauts effrayants comme crochets de construction de fans. Et selon la réalisatrice Emma Tammi, l’un des principaux avantages de l’extension théâtrale de l’histoire était de se concentrer autant sur les personnages que sur les secousses soudaines.

Quand j’ai parlé au Cinq nuits chez Freddy Helder à propos de présenter ce film d’horreur très attendu à des millions de fans, je lui ai demandé d’apporter un équilibre reconnaissable pour adapter la portée des personnages quelque peu nécessairement limitée des premiers jeux, sans avoir besoin de s’appuyer sur une porte tournante de frayeurs. Voici comment elle l’a dit :

Lorsque j’ai rejoint le projet pour la première fois, la version existante du script que j’ai lue, c’est l’une des choses qui m’a vraiment marqué lorsque je l’ai lu pour la première fois. Il était très clair que Scott voulait intégrer des histoires humaines réelles et complexes dans ce film. Et aussi d’accrocher les frayeurs, et d’accrocher le monde de la pizzeria, aux histoires de ces personnages, avec de grandes histoires et arcs.

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