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« Pour l’amour des étrangers » de Dorianne Laux est apparu pour la première fois dans son deuxième recueil de poésie, Ce que nous transportons (1994). Il a été inclus dans Dix poèmes pour durer toute une vie (2004), un recueil de poèmes stimulants compilé par Roger Housden. Le poème parle de l’expérience de continuer dans la vie quotidienne malgré un immense chagrin. En utilisant le mot « nous », Laux démontre qu’elle écrit sur une expérience universelle partagée par nombre de ses lecteurs. Une grande partie de la poésie de Laux s’efforce de refléter des expériences universelles partagées. Elle est souvent louée pour la façon dont elle parvient à incorporer des détails dans des poèmes qui explorent de telles expériences partagées. Bien que « For the Sake of Strangers » parle d’un individu aux prises avec une douleur émotionnelle, Laux crée une image d’espoir en décrivant des étrangers, inconscients de la douleur de l’orateur, faisant preuve de gentillesse. Le poème dépeint un remède à la solitude et au désespoir. La douleur ressentie par l’orateur du poème est un problème courant, mais la solution est quelque peu inattendue.
« For the Sake of Strangers » est écrit en vers libres, ce qui lui donne un attrait moderne et un ton informel. Laux utilise peu de dispositifs littéraires, choisissant plutôt une approche directe de son expression. Pourtant, une lecture attentive du poème révèle une utilisation sophistiquée de la subtilité qui ajoute des couches de sens et de perspicacité. En décrivant une série d’étrangers et leur traitement de la personne affligée, Laux crée une image édifiante du pouvoir de la gentillesse des étrangers. Elle établit des liens discrets entre les personnes du poème, soulignant l’universalité de l’expérience humaine. Les gens sont étrangers à l’orateur dans le poème, mais ils ne sont pas étrangers à la douleur de l’orateur. Ils ont de la compassion pour elle parce qu’eux aussi ont ressenti du chagrin.
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