Pour la défense de la troisième incarnation tant décriée et sous-estimée de Max Payne

Max Payne 3

Peu de protagonistes ont autant souffert du déterminisme nominatif que Max Payne. Avec des débuts dans le jeu vidéo qui ont commencé avec le meurtre brutal de sa femme et de son enfant aux mains de toxicomanes et un catalogue d’innombrables tragédies personnelles depuis, cet ancien détective du NYPD porte bien son nom depuis près de deux décennies.

Max est peut-être si dur qu’il n’aurait pas l’air déplacé, enveloppé dans du plastique coloré et jeté dans un sac de pick ‘n’ mix, mais son cynisme apparemment sans fin et ses plaisanteries constantes le rendent difficile à détester. Enfin, jusqu’à Max Payne 3.

Il est temps de se mettre au pied

(Crédit image : Rockstar Games)

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