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Les chiffres de l’Agence des services frontaliers du Canada montrent que plus de la moitié des étrangers expulsés du pays sont restés sur place pendant une période de six ans, rapporte le Blacklock’s Reporter.
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Au cours de la période 2016-2022, 13 605 étrangers ont fait l’objet d’une mesure d’expulsion, mais 8 723 – soit 64 % – sont restés au Canada.
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Des chiffres incomplets montrent qu’environ 10 % des déportés sont partis volontairement.
L’ASFC a promis d’augmenter son taux d’expulsion.
« Toute personne dont le renvoi du Canada a été ordonné a droit à une procédure régulière devant la loi », a écrit l’ASFC dans une enquête ministérielle déposée aux Communes.
« Toutes les mesures de renvoi sont sujettes à différents niveaux d’appel, y compris un contrôle judiciaire. Une fois que toutes les voies légales ont été épuisées, les ressortissants étrangers sont soumis à une procédure d’expulsion.
Ces chiffres sont venus à la demande du député conservateur Tom Kmiec (Calgary Shepard) qui a demandé : « À combien de personnes le gouvernement a-t-il envoyé des lettres d’expulsion ? Et combien en restent-ils actuellement au Canada ?
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« Les renvois sont priorisés en fonction d’un régime de gestion des risques, les cas impliquant la sécurité nationale, le crime organisé, les violations des droits de la personne et la criminalité étant la plus haute priorité pour la sûreté et la sécurité du Canada », indique une note de service de la CSBA. «Cette première priorité inclut également les demandeurs d’asile migrants irréguliers déboutés qui sont entrés entre les points d’entrée du Canada.»
L’année dernière, un total de 2 002 étrangers ont reçu l’ordre de quitter le Canada, 373 sont partis seuls et 386 autres ont été expulsés par des agents de l’ASFC.
Les 1 057 autres, soit 53 %, sont restés au Canada.
L’exécution des arrêtés d’expulsion est suivie par les députés depuis un rapport de 2021 de la vérificatrice générale Karen Hogan, estime les agents fédéraux. perdu la trace de milliers de déportésdont 2 800 ayant un casier judiciaire.