« Personne ne devrait faire face à ces abus » : les menaces de viol contre la femme de Poilievre sont renvoyées à la GRC

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Le chef conservateur Pierre Poilievre a renvoyé les menaces de viol concernant sa femme à la GRC pour déterminer si des accusations criminelles devraient être portées.

Poilievre a partagé une déclaration écrite sur Twitter après avoir été mis au courant des « commentaires dégoûtants » de Jeremy Mackenzie, le fondateur du groupe d’extrême droite Diagolon, et de Morgan May.

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Dans un récent livestream, Mackenzie et May ont fait des commentaires obscènes sur Anaida Poilievre. Mackenzie a plaisanté sur son agression sexuelle, tandis que May a ri.

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« Ce genre de déchets n’a pas sa place au Canada. Personne ne devrait faire face à ces abus », a écrit le chef conservateur.

«Les gens peuvent attaquer ma politique, ils peuvent m’insulter, ils peuvent protester contre mes idées et ce que je représente. Mais menacer ma femme et ma famille est épouvantable et je ne le tolérerai pas.

« Laisse ma famille tranquille. »

Mackenzie avait déjà assisté à l’un des rassemblements de campagne à la direction de Poilievre le mois dernier et avait même pris une photo avec lui en lui serrant la main, ce qui a suscité des critiques.

Poilievre a publié une déclaration à l’époque disant qu’il ne reconnaissait pas cet individu en particulier et a déclaré qu’il était « impossible » de faire une vérification des antécédents de tous ceux qui ont assisté à ses événements.

Plus de détails à venir.

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