[ad_1]
No Good Men Among the Living d’Anand Gopal décrit la guerre américaine en Afghanistan du point de vue de trois Afghans ordinaires. Le premier est Akbar Gul, également brièvement appelé Mullah Cable, un ancien commandant taliban qui a rejoint le groupe lors de sa résurgence plusieurs années après l’invasion américaine. Akbar Gul a initialement rejoint une milice locale pour se protéger et protéger sa famille, mais il est devenu l’un des exécutants les plus redoutés de la loi talibane. Il est clair cependant qu’Akbar Gul n’était pas particulièrement intéressé par l’idéologie religieuse des talibans. Au lieu de cela, il était principalement motivé par la richesse matérielle et l’épanouissement personnel qu’offrent les talibans.
Le deuxième individu majeur est Jan Muhammad Khan (JMK), chef de guerre anti-taliban et ami proche du président afghan Hamid Karzai. Au début du livre, JMK devait être exécuté dans une prison talibane mais a été sauvé au dernier moment par la capitulation des talibans face à Karzai et au nouveau gouvernement afghan. Installé comme gouverneur de la province d’Uruzgan, JMK a acquis une richesse et une influence considérables, mais a développé une réputation de corruption et de violence intéressée. Même s’il était théoriquement un allié des États-Unis, il est clair que cette corruption a souillé les États-Unis aux yeux des Afghans et les a encouragés à soutenir les talibans renaissants.
Enfin, Gopal suit Heela, une Afghane contrainte de déménager avec sa famille de Kaboul vers la campagne de Khas Uruzgan pendant la guerre civile afghane. Heela aspire fortement à devenir infirmière ou enseignante, mais elle est sévèrement limitée par des coutumes strictes qui interdisent aux femmes de quitter leur domicile seules ou sans burqa. À bien des égards, la lutte de Heela pour mener une vie indépendante symbolise les tentatives de toutes les femmes afghanes de jouer un rôle plus important dans l’Afghanistan post-taliban. Heela est finalement élue sénatrice de la province d’Uruzgan.
En plus de ces trois individus, Gopal décrit l’obsession américaine de vaincre les « terroristes », conduisant souvent les troupes américaines à attaquer, emprisonner et tuer des alliés potentiels. Plus largement, Gopal soutient que cet échec et d’autres de la guerre américaine en Afghanistan étaient le résultat d’une mauvaise compréhension et d’une simplification excessive de la société afghane par les responsables américains.
[ad_2]
Source link -2