[ad_1]
Charles Baudelaire apparaît dans Paris Spleen
Charles Baudelaire est l’auteur de « Paris Spleen », un recueil de poésie de la fin du XIXe siècle. Baudelaire tente d’imiter « Gaspard de la nuit » d’Aloysius Bertrand en imitant la poésie en prose du recueil de Bertrand. Baudelaire écrit à son éditeur, décrivant son inspiration et sa vision de son échec dans l’accomplissement de son objectif d’imiter le style d’un autre auteur, bien que, essentiellement, Baudelaire ait atteint un objectif distinct en créant son propre style que les auteurs ont depuis tenté d’imiter. Cette création donne à Baudelaire à la fois la fierté de sa création et la honte de ne pas avoir atteint son objectif initial.
Plusieurs des œuvres de la collection de Baudelaire reflètent à la fois des visions humaines des personnes moins fortunées de son environnement en reconnaissant une certaine culpabilité d’être plus chanceux, tout en montrant simultanément son dédain pour la classe ouvrière et sa fascination pour la contradiction. Il manifeste à plusieurs reprises du plaisir dans l’indulgence des sens et des plaisirs de l’âme, qu’ils soient moraux ou non, et dans certains cas le contraire en rendant l’immoral moral. Ce recueil est publié à titre posthume en 1869 par la sœur de Baudelaire et est souvent considéré comme faisant partie du mouvement littéraire moderniste.
Raymond N MacKenzieapparaît dans Introduction
Raymond N MacKenzie est professeur de littérature anglaise, traducteur de cette collection et auteur de l’introduction. MacKenzie fournit le côté informatif de la biographie de l’auteur, ainsi que l’environnement dans lequel cet ouvrage a été publié pour la première fois dans sa forme originale. MacKenzie fait référence à plusieurs autres auteurs et essais, donnant une gamme aux points de vue de cette collection et à son effet sur la littérature.
MacKenzie compare les œuvres de Baudelaire aux événements d’un meurtre et à sa capitalisation du marché. Ses vues sur ce travail produisent une description de Baudelaire au lecteur, montrant un homme égoïste qui s’est auto-analysé et a été brutalement ouvert concernant ses propres défauts de caractère, ce qui a permis à Baudelaire de se complimenter davantage sur sa propre capacité à détruire sa propre valeur. publiquement. MacKenzie souligne également les qualités similaires qui sont décrites dans une autre œuvre de Baudelaire, intitulée La Fanfarlo, dans laquelle est représenté un personnage nommé Samuel Cramer qui affiche de nombreux attributs de Baudelaire.
Fancioulle apparaît dans Une mort héroïque
Fancioulle est un bouffon qui est favorisé à la cour, notamment pour ses rôles muets, à tel point qu’il est noté comme pratiquement un ami du Prince. Un seigneur surprend Fancioulle dans un complot de rébellion contre le prince. Il est arrêté et condamné à mort pour son implication. Il a la chance de jouer pour le prince au sein d’un casting assemblé des autres conspirateurs. Le soir de la représentation, Fancioulle donne la meilleure performance de sa vie, et dans son moment de gloire, alors que tous avaient oublié qu’il était un condamné, il est tué en plein acte.
Le prince apparaît dans Une mort héroïque
Considéré comme un connaisseur des plaisirs, le Prince est accusé d’avoir comploté contre son acteur préféré pour former une rébellion contre lui. Le Prince décide de faire jouer l’acteur Fancioulle dans l’un de ses rôles les plus célèbres et de faire venir les autres conspirateurs au casting de la pièce. Le prince est également connu comme un homme terrible et complice, donc dans son acte d’exiger une pièce de théâtre avant la mort du conspirateur, il semble avoir pitié de Fancioulle. Au lieu de cela, il le fait tuer par un petit garçon alors qu’il est au milieu de la plus grande performance de Fancioulle.
The Old Mountebank apparaît dans The Old Mountebank
Old Mountebank est un vieil homme pauvre dans une hutte en lambeaux qui se trouve à la périphérie de ceux de la foire qui ne montre aucune marchandise pour les masses. L’homme inculque à Baudelaire le sentiment de pitié pour l’homme et pourtant d’embarras pour lui en même temps. Dans sa propre pensée, Baudelaire se demande si le vieil homme n’est peut-être pas un poète qui n’est plus recherché par les masses.
Dorothy apparaît dans Beautiful Dorothy
Dorothy est une femme audacieuse et belle qui prend de petits instants pour profiter du temps du grand soleil, quand d’autres dorment à midi. Elle marche seule sur le rivage, vêtue de beaux vêtements, mais sans chaussures. C’est une grande femme fière avec une taille fine, un long torse, des hanches larges et des cheveux longs qui
Feline apparaît dans The Clock
Féline est une femme avec qui Baudelaire aurait vraiment tenu compagnie et qui est mentionnée dans « L’Horloge » et est comparée à son homonyme animal, en ce que Baudelaire peut voir dans ses yeux l’heure, la même chose que l’on dit que les Chinois peuvent avec un chat. On dit que ses yeux sont verts et qu’ils contiennent toute l’éternité.
La vieille femme apparaît dans Le désespoir de la vieille femme
La vieille femme est une femme âgée, décrite comme décrépite, édentée et sans poils, dont la joie est de voir le nouvel enfant amené dans son cercle et qui a le cœur brisé que l’enfant se lamente à son contact alors que tout ce qu’elle voulait dire était de plaire à l’enfant. Dans son rejet, elle s’en va pleurer seule.
La Fée apparaît dans Les Cadeaux des Fées
Une fée dans et parmi les fées rassemblées qui distribuent des cadeaux aux nouveau-nés, elle est attrapée par un homme dont l’enfant est oublié, et dans l’embarras appelle le cadeau de « plaire » au garçon, mais est furieuse quand le père interroge son cadeau à son enfant.
Le fou bien-aimé apparaît dans La soupe et les nuages
Le maniaque bien-aimé est la femme d’un rêveur, qui dans ses pensées, il appelle son monstre aux yeux verts et petit maniaque bien-aimé. Elle est décrite en termes d’affection contradictoires qui montrent que, bien qu’elle soit une femme folle ou volatile, elle est une femme aimée.
[ad_2]
Source link -2