Opinion : Voici pourquoi le Canada devrait financer un traitement avancé du diabète

Gérer la glycémie d’une personne atteinte de diabète de type 1, c’est un peu comme diriger un gros navire : vous devez faire des changements de direction bien avant qu’ils ne se produisent, sinon vous vous effondrez. Les glucomètres sont comme diriger le navire les yeux fermés ; CGM vous ouvre les yeux.

Connaître votre taux de sucre dans le sang et où il va est très important, car si l’insuline est un médicament miracle qui me maintient en vie, elle est aussi incroyablement dangereuse. Chaque fois que vous prenez de l’insuline, vous vous exposez à un risque d’hypoglycémie ou d’hypoglycémie, qui est une cause fréquente de visites aux urgences pour les personnes atteintes de diabète de type 1. S’il n’est pas traité, il peut tuer.

L’utilisation de CGM s’est avérée très efficace pour réduire le temps passé avec une glycémie basse. Le revers de la médaille de l’hypoglycémie est l’hyperglycémie qui, à long terme, est associée à de mauvais résultats tels que les crises cardiaques et les maladies rénales. CGM aide également à cela, augmentant le temps pendant lequel les personnes atteintes de diabète de type 1 ont leur glycémie dans une plage de sécurité.

Malheureusement, le CGM coûte entre 3 000 $ et 6 000 $ par an. La plupart des régimes provinciaux/territoriaux d’assurance-maladie et d’assurance-médicaments ne couvrent pas les dépenses. Les rares qui ont souvent des restrictions d’âge. Par exemple, le Manitoba a une couverture CGM, mais seulement pour les moins de 25 ans.

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