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La version suivante de ce poème a été utilisée pour créer ce guide : Keats, John. « Ode à un rossignol. » Fondation de poésie en ligne. https://www.poetryfoundation.org/poems/44479/ode-to-a-nightingale.
Notez que les citations entre parenthèses dans le guide renvoient au numéro de ligne d’où provient la citation.
« Ode to a Nightingale » est un poème de 80 vers en dix strophes écrit par le poète romantique britannique John Keats. Il est apparu pour la première fois dans les Annals of Fine Arts en juillet 1819 et est l’une des six odes que Keats a composées cette année-là. Ces odes représentent la recherche de Keats d’une nouvelle forme de vers qui, selon lui, améliorerait le sonnet. « Ode to a Nightingale » est souvent lu en référence à l’argument de Keats – mis en avant dans ses lettres – selon lequel la grande poésie a une « capacité négative » à trouver la beauté dans le mystère plutôt que dans des idées singulières de vérité. Keats a écrit « Ode to a Nightingale » quelques semaines après la mort de son frère de la tuberculose, la « maladie familiale » qui a emporté de nombreux membres de sa famille et à laquelle Keats lui-même succomberait dans les deux ans.
Keats aurait écrit le poème en une journée dans un jardin où un rossignol avait fait son nid. L’ode qui en résulte célèbre le chant insouciant de l’oiseau tandis que l’orateur lui-même se débat avec un sentiment omniprésent de chagrin et d’inquiétude. Le poème se déroule pendant que l’orateur écoute la chanson du rossignol dans une transe somnolente. Il souhaite fusionner avec le chant de l’oiseau et sa fuite métaphorique des troubles humains. Il imagine ainsi son identité et ses soucis se dissoudre à travers le vin, l’imagination et la perspective du suicide avant que la chanson ne disparaisse et qu’il ne revienne à lui-même (72). Retrouvant son chagrin à chaque tournant, il est finalement laissé seul avec sa douleur alors que l’oiseau s’envole. Le poème illustre la notion de « capacité négative » de Keats, faisant référence à une position d’incertitude épistémologique. Cela commence donc avec le locuteur qui entre dans un état second et se termine par une question de savoir s’il est éveillé ou en train de rêver.
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