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Nights at the Circus est divisé en trois sections. La première section se déroule à Londres en 1899, juste avant le tournant du siècle. Jack Walser, un jeune journaliste qui a beaucoup voyagé, interviewe Sophie Fevvers, une acrobate aérienne, à l’origine pour le Cirque d’Hiver, mais maintenant pour le Grand Imperial Tour du Capitaine Kearney. L’interprète, qui ne porte que le nom de Fevvers, est extraordinaire en ce qu’elle prétend avoir de vraies ailes. Elle est grande, blonde, bien roulée et belle : « La Vénus Cockney ». Élevée dans un bordel, Fevvers a des débuts dans la classe ouvrière et elle parle souvent d’une manière terre à terre, en utilisant un langage grivois. Cependant, elle est aussi une auto-diadacte, s’étant apparemment dotée d’une large éducation. Son langage est donc parfois assez élevé, parsemé généreusement de vocabulaire sophistiqué et de références littéraires.
L’acte de Fevvers consiste à « voler » jusqu’au trapèze où elle exécute une routine d’escalade. Elle mesure plus d’un mètre quatre-vingt, donc sa performance n’a pas la vitesse d’autres actes de haute voltige; cependant, les foules se rassemblent pour assister à son crochet : une envergure de six pieds. Bien qu’elle prétende être une anomalie physique, elle défie ouvertement les autres de décider si ses affirmations farfelues sont vraies.
Walser, qui est sceptique, décide de l’interviewer et de découvrir par lui-même si elle est « réalité ou fiction ». Il prévoit de publier ses découvertes dans une série de journaux intitulée « Great Humbugs of the World ». Bien qu’il entreprenne de réfuter ses affirmations lors de son entretien initial, il devient enchanté alors qu’elle raconte son histoire.
Fevvers dit à Walser qu’elle a été laissée sur les marches d’un bordel dans les coquilles de l’œuf dont elle est née. À la naissance, elle avait de petits bourgeons de duvet sur ses épaules, mais, à l’âge de quatorze ans, elle a poussé des ailes qui ont continué à se développer au fur et à mesure qu’elle grandissait. Elle lui raconte des histoires farfelues de son passé qu’il n’est pas sûr de pouvoir croire; cependant, sa présence est enivrante et il se retrouve à vouloir croire tout ce qu’elle dit. Walser tombe amoureux de Fevvers et la suit alors qu’elle rejoint le cirque lors du «Grand Imperial Tour», qui se rend à Tokyo via la Russie; suivi d’une autre tournée à travers les États-Unis.
La deuxième partie de l’histoire, qui se déroule à Saint-Pétersbourg, trouve Walser travaillant comme clown dans le cirque pour être près de Fevvers, qui a la tête d’affiche et est la vedette du spectacle. Le public l’adore et elle reçoit de nombreuses invitations à dîner avec des hommes riches. Poussée par la cupidité, elle flirte avec eux pour attirer l’attention et les cadeaux. Cependant, comme elle prétend également être vierge, il n’y a que jusqu’à présent qu’elle accepte le flirt.
Le cirque subit de nombreux revers à Saint-Pétersbourg. Tout d’abord, un tigre attaque Walser. De plus, une affaire dans les rangs du cirque mène à la tragédie, et Fevvers prend la femme, Mignon, qui a été battue et expulsée par son mari, sous son aile proverbiale. Fevvers trouve non seulement à Mignon une nouvelle place dans le cirque, mais aussi un nouvel amant inattendu.
Fevvers, réalisant que Walser a rejoint le cirque pour être près d’elle, réalise lentement qu’elle a des sentiments croissants pour lui; pourtant, elle a été élevée pour se méfier de l’amour et détester le mariage, et ses sentiments pour l’argent sont beaucoup plus forts. Lors de leur dernière nuit à Saint-Pétersbourg, le cirque perd le chef de la troupe de clowns à la folie. De plus, la tigresse attaque Mignon et doit être abattue, et le numéro de singe déserte le cirque pour quelque chose de mieux. Fevvers est presque perdue car, poursuivant sa cupidité, elle se met dans une situation dangereuse avec un homme qui trouve ses ailes fascinantes et veut la garder pour sa collection. Elle s’échappe, mais son sentiment d’invulnérabilité est perdu. Son amour de l’argent perd également de son éclat.
Dans la troisième section, la troupe traverse la Sibérie en route vers Tokyo. Le train dans lequel ils voyagent déraille, tuant de nombreux animaux à bord et laissant la troupe bloquée dans le désert. C’est un paysage froid et désolé. Bien que Fevvers le cherche frénétiquement, Walser est introuvable. Fevvers et les autres survivants du cirque sont bientôt pris en otage par des hors-la-loi qui, en raison de renseignements erronés, pensent que Fevvers peut les aider à retourner dans leurs familles en plaidant leur cause auprès de la reine d’Angleterre : un parent du tsar de Russie. Malheureusement, Fevvers ne peut pas les aider et elle et les survivants doivent planifier leur évasion. Pendant ce temps, Walser est retrouvé par des prisonniers évadés qui fouillent l’épave du train. Frappé à la tête et souffrant d’amnésie, il s’égare dans les bois et est recueilli par le chaman d’un village tribal.
Fevvers et les autres survivants ont entrepris de retourner à l’épave du train, mais se retrouvent plutôt dans une maison au bord d’une rivière au milieu de la nature sauvage. Là, ils trouvent le Maestro. Il les aide à survivre, et Mignon et son amant, en retour, l’aident à se retrouver et à retrouver ses rêves. Pendant ce temps, Fevvers s’inquiète pour Walser, même si elle écrit toujours que ses sentiments pour lui sont de nature purement physique. Elle a entendu des rumeurs selon lesquelles il est vivant et envisage de le retrouver. Elle et Lizzie, sa mère adoptive et sa compagne constante, sont parties dans le désert pour retrouver l’amour perdu de Fevvers, car elle a réalisé que l’amour est plus important que l’argent.
Les femmes retrouvent Walser dans le village tribal où il retrouve lentement la mémoire. La présence de Fevvers accélère son rétablissement et les deux finissent par être ensemble. La question de savoir si son histoire est une réalité ou une fiction est laissée au lecteur de décider.
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