Nouveau en livre de poche : Haruki Murakami et Richard Thompson

PREMIÈRE PERSONNE DU SINGULIER : Histoires, par Haruki Murakami. Traduit par Philippe Gabriel. (Vintage, 256 pages, 17 $.) Dans huit histoires, les narrateurs classiques à la première personne de Murakami méditent sur la musique, le sport, les souvenirs de jeunesse et plus encore, oscillant souvent entre le réalisme et une sagesse philosophique plus profonde. Comme l’a noté notre critique, David Means, cette collection « fusionne les cultures, ou peut-être les saute par-dessus, défiant le temps, battant comme des chansons pop, touchant les nerfs universels ».

BEESWING : Perdre mon chemin et trouver ma voix, 1967-1975, de Richard Thompson avec Scott Timberg. (Algonquin, 304 pages, 16,95 $.) Ce mémoire « ironique, peu lourd et anti-obligatoire », comme l’a dit notre critique, Paul Elie, « atteste vivement » le parcours de Thompson en tant que musicien folk, de sa musique avec Fairport Convention et sa première femme à sa conversion à Islam.

CHERCHEURS D’OR, par Sanjena Sathian. (Pingouin, 352 pages, 17 $.) Situé dans la banlieue d’Atlanta au milieu des années 2000, cette histoire réaliste et magique suit un adolescent amérindien alors qu’il navigue sans but dans l’adolescence jusqu’à ce qu’un élixir doré le lie à ses ancêtres. « La tension que Sathian construit est celle de l’insécurité des adolescents qui gonfle à l’âge adulte », a commenté notre critique, Lauren Christensen, « jusqu’à ce que la désillusion renverse la tyrannie du perfectionnisme américain. »

LES ABEILLES ET LES INSECTES QU’ILS AIMENT, par Franck Mortimer. (Citadelle, 320 pages, 15,95 $.) Un apiculteur raconte son expérience en passant de novice à maître, fournissant de nombreux conseils et présentant les excentriques, les excentriques et, comme notre critique, Anne Sverdrup-Thygeson, l’a dit, « des sacs à vent d’auto-promotion flagrante » qu’il rencontre en cours de route.

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