Nous vivons selon ce que nous voyons la nuit Résumé et description du guide d’étude


Publié pour la première fois dans la collection Trompettes des îles de leur expulsion en 1987, « We Live by What We See at Night » est un exemple de la voix nostalgique et nostalgique de Martín Espada en tant qu’Américain portoricain éloigné de la patrie de sa famille. Utilisant un ton simple et de nombreuses images, le poète imagine ce que cela a dû être pour son père en tant que jeune homme, un nouvel immigrant vivant à Harlem mais rêvant la nuit de sa maison. Il oppose le paysage portoricain luxuriant et coloré au sombre paysage urbain de New York, puis passe au présent, des années plus tard, vivant lui-même dans la même ville. Bien qu’il ne soit pas né à Porto Rico, Espada termine le poème en exprimant un sentiment de confort d’avoir « hérité » des visions nocturnes de son père sur l’île tropicale, une mémoire aussi profondément enracinée, peut-être, que la race et la culture. Comme le titre pourrait le suggérer, ce sont ces rêves qui soutiennent les gens et les aident à survivre, à regarder vers l’avenir tout en comprenant leur propre passé.



Source link -2