Nous sommes tous un beau gâchis par JEMME MD ART – Commenté par Jennie Louwes


La vérité nue comme jamais lue ou vue auparavant ! Une honnêteté déchirante, édifiante, inspirante et courageuse, une nécessité qui change la vie.

Je suis quelqu’un qui pourrait toujours se passer d’un langage coloré, mais je reconnais aussi rapidement que certaines vies et situations dictent son utilisation s’il représente la vérité d’un auteur sur qui il est, ce qu’il écrit, cherche à dépeindre et si son utilisation authentifie leur vie. Je souhaiterais peut-être que ce soit différent, mais ce n’est pas la langue elle-même mais la cause première de son utilisation, j’espère que j’ai été autorisé à corriger surnaturellement ! Élever l’auteur dans une vie différente où le chagrin, l’inconfort, la blessure, la douleur, toutes les choses qui conduisent à la nécessité d’un langage grossier disparaîtraient et ne seraient plus. Cependant, dans les pages de « We are all a Beautiful Mess », nous découvrons que l’auteur n’a pas besoin d’être secouru. Elle s’est sauvée. À travers son exemple, puissions-nous tous apprendre que nous ne sommes pas bloqués si nous trouvons un exutoire qui nous rapproche d’une vie de liberté où nous sommes capables de nous exprimer pleinement, nous libérant ainsi des cages de tout ce qui nous lie. Nos corps sont peut-être incapables, mais nos esprits sont prêts à nous envoler !

Il y a ces gens au sein de notre société, j’inclus dans ce que je m’apprête à dire, qui évitent la nudité dans l’espoir de suivre les anciens jours d’étiquette et de modestie qui, pour nous, doivent être loués. A éviter pour ne pas encourager des choses telles que la pornographie et l’idolâtrie des corps qui semblent être présentes partout où nous nous tournons dans cette ère moderne.

Cependant, la nudité ne doit pas être évitée ou détournée au point de nous empêcher de nous émerveiller de qui nous sommes. La forme d’art que Dieu a créée lorsque nous avons été créés. Qu’il a béni et appelé le bien. Surtout quand un corps a été torturé par des maux physiques. Certains vus tandis que d’autres ne le sont pas. Des maladies silencieuses à celles qui font dépérir nos corps, chaque corps mérite toujours d’être célébré. Chaque corps abrite notre essence. Nous sommes nos corps mais plus encore nous sommes ce qui les transcende.

Les photos que Jemme partage avec nous, couplées à ses mots, sont pleines de pouvoir. Certains ont besoin de sous-titres pour comprendre tandis que d’autres parlent d’eux-mêmes. Après tout, l’art est dans l’œil du spectateur, et chaque pièce n’a pas besoin d’être disséquée mais plutôt comprise. Dans la compréhension se trouvent des couches de parole. Tout discours n’est pas fait de mots mais de sons, de nuances et de bruits gutturaux qui n’ont jamais été destinés à être déchiffrés mais ressentis.

Dans l’ensemble de l’œuvre de Jemme, dans ses mots et ses photographies, se trouvent des autoportraits de substance, de fatigue, de dépression, de solitude, transformés en amour. Un désir de ramper hors de sa peau s’est transformé en acceptation et en possession de chaque facette. Puissions-nous tous avoir la chance de trouver l’inspiration de Jemme, l’histoire qui continue de se dérouler mais qui est parfaitement tissée par ses propres mains, et faisons de notre mieux pour emboîter le pas. Nous sommes tous plus que ce qui nous afflige. Dans chacune de nos histoires, il y a en effet une beauté à découvrir dans le mess.

Lire des livres et écrire des critiques apporte toutes les émotions sous le soleil ; changeant à jamais, changé à jamais, et je ne voudrais pas qu’il en soit autrement. Puissent mes paroles aider non seulement les autres lecteurs mais aussi les auteurs des livres que nous lisons.



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