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Résumé de l’intrigue de la République
Socrate rencontre certains de ses amis et d’autres personnes. Il commence à discuter du sens de la justice et si la vie juste est meilleure que la vie injuste. Ils envisagent d’abord le sens de la justice, Céphale déclarant que la justice est aussi simple que de dire la vérité et de rendre ce que vous recevez, Polémarque déclarant que la justice donne à chacun ce qui lui est dû, et Thrasymaque déclarant que la justice est l’avantage du plus fort. Socrate prouve que chacun d’eux a tort et entame une discussion pour savoir ce qu’est la vraie justice, et pour savoir si l’homme juste est vraiment plus heureux que l’homme injuste, ou vice versa.
Ils discutent et établissent que la justice est dans la classe des choses qui doivent être pratiquées pour leur propre bien aussi bien que pour le bien de leurs conséquences. Cependant, on pourrait soutenir que les gens ne sont justes que parce qu’ils ont peur des punitions de l’injustice. Afin de clarifier ce qu’est la justice et en quoi consiste vraiment la vie bonne, Socrate dit qu’ils devraient la regarder à grande échelle, en prenant une ville comme exemple, puis l’examiner sur une base individuelle. Dans la ville, les gens auront leurs besoins de base ; tout sera partagé; il y aura un système rigide d’éducation et d’éducation des gens ; et les meilleurs d’entre eux, les gardiens, seront choisis pour garder et gouverner la ville. De plus, l’imitation ne sera pas autorisée, et les dieux ne pourront être représentés que comme beaux, gracieux, à l’origine uniquement du bien, jamais du mal.
Puis ils découvrent qu’il y a quatre excellences dans la cité : la sagesse, le courage, la tempérance et la justice. S’ils suivent leur exemple originel où la ville se substitue à la personne, ces quatre excellences doivent aussi exister dans une personne, dans l’âme. Puisqu’ils existent tous dans l’âme et peuvent souvent se contredire, il est établi que l’âme est composée de parties et n’est pas un tout. De plus, tout comme dans la ville on suppose que le peuple rationnel doit régner, on suppose que dans l’âme la partie rationnelle doit régner. Ainsi la justice « établit les parties de l’âme pour qu’elles se dominent et soient dominées les unes par les autres selon la nature, l’injustice pour qu’elles gouvernent et soient gouvernées contre nature ». Livre 4, p. 112, ligne 444d
Socrate poursuit en déclarant que personne ne sera heureux tant que les philosophes ne deviendront pas des rois ou que les rois ne deviendront pas des philosophes. Il le prouve par beaucoup de réflexion et de questionnement, montrant que seuls les philosophes aiment vraiment la sagesse et cherchent la vérité et l’acceptent. Pour démontrer la difficulté d’accepter la vérité, Socrate raconte l’histoire de la caverne, où les hommes ne voient que des ombres dans l’obscurité et les supposent être la vérité. Lorsqu’ils voient réellement que la vérité est différente de ce à quoi ils sont habitués, ils refusent d’y croire au début, bien qu’ils le fassent plus tard.
Après cela, Socrate poursuit en montrant qu’il existe quatre types de régimes, classés dans l’ordre du plus juste au moins juste : l’aristocratie, la timocratie, l’oligarchie, la démocratie et la tyrannie. Puis il poursuit en expliquant comment chacun se développe à partir de l’autre et pourquoi chacun est juste et/ou injuste. De même, les hommes de chaque époque représentent la quantité de justice dans leurs âmes. Cela prouve à son tour que l’homme juste est plus heureux que l’homme injuste.
Après tout cela, Socrate passe à l’histoire d’Er, l’histoire d’un homme revenant de l’au-delà et le décrivant. À la fin de l’histoire, il dit que parce que lui et ses compagnons ont établi que l’âme est immortelle, et parce que cette histoire parle de l’immortalité de l’âme, il est encore plus important que les gens soient justes et recherchent le bien et le vrai. connaissances dans leur vie. Ceci, à son tour, leur apportera beaucoup de bonheur dans cette vie et dans l’au-delà.
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