mardi, novembre 5, 2024

Nobody Saves the World Review – Fantastiquement absurde

Personne ne sauve le monde est absurde, excentrique et surtout drôle. Son épine dorsale comique est construite sur Personne agissant comme un spectateur indescriptible pour le monde et ses habitants loufoques. Si vous n’avez jamais joué à un jeu Drinkbox Studio auparavant, leur style tourne généralement autour des caricatures, et Nobody Saves the World n’est pas différent.

Chaque région incarne un thème qui est étiré à l’extrême non seulement à travers son environnement mais à travers des personnages, des quêtes et un ton. À l’est se trouve Damptonia, un marécage sale abritant la Ligue des sorciers et des champs de citrouilles en décomposition. Il y a des extraterrestres déguisés essayant de retrouver le chemin du retour et une sorcière assoiffée de courses de balais. Il y a un donjon suspect fait de bonbons et de pain d’épice dont le propriétaire, une sorcière, insiste pour ne pas attirer les enfants, mais on n’est jamais trop sûr. À l’ouest, vous trouverez Rustrock Barren, un désert rempli de canyons abritant des personnages louches voulant vous soulager de votre sac à main et la guilde des voleurs tout aussi méfiante. Les primes sont nombreuses dans ces parties du monde et une centrale électrique instable répand des toxines dans la ville, que vous êtes chargé de fermer. L’extrémité dans laquelle Nobody Saves the World pousse l’individualité de chaque région génère une curiosité inégalée pour explorer le très grand monde ouvert.

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