Pas le temps de mourir est l’un des films de James Bond les plus émouvants à ce jour, se battant pour la première place avec Au service secret de Sa Majesté.
Un décès, en particulier, a fait l’objet de nombreuses discussions en ligne – et nous en avons longuement discuté dans notre fonctionnalité expliquée de fin No Time To Die.
Cependant, vous vous demandez peut-être qui a écrit cet éloge funèbre à l’origine ? Nous avons les réponses ci-dessous, mais avant d’obtenir quoi que ce soit, voici votre…
Avertissement! Ce qui suit contient des spoilers majeurs pour No Time To Die. Si vous n’avez pas vu la dernière aventure de James Bond dans les cinémas, cliquez maintenant – de préférence sur cette pièce sans spoiler sur la réalisation du film, avec des interviews de Craig et de la distribution.
Toujours ici ? Alors vous savez que notre héros, James Bond, est allé dans sa tombe. Ce fut une fin choquante qui a sans aucun doute changé la trajectoire de la franchise pour de bon.
M (Ralph Fiennes) livre un éloge funèbre de James Bond qui dit : « La fonction propre de l’homme est de vivre, pas d’exister. Je ne perdrai pas mes jours à essayer de les prolonger. J’utiliserai mon temps. »
James Bond était certainement un homme qui vivait plutôt qu’il n’existait et le passage, écrit par le romancier américain Jack London, a été publié pour la première fois par le San Francisco Bulletin en 1916. Le passage a ensuite servi d’introduction à une compilation de nouvelles de Londres publiées à titre posthume dans 1956.
Fait intéressant, le passage a déjà été utilisé pour faire l’éloge de James Bond. Dans le roman de Ian Fleming You Only Live Twice , la nécrologie de Bond est publiée dans un journal car l’espion serait mort. Son intérêt amoureux, Mary Goodnight, ajoute un addendum : le même passage de Jack London lu par M. Fait intéressant, dans ce même livre Bond (très différent du film du même nom), 007 étrangle Blofeld à mort.
Comme le souligne Horaires radio, le passage n’est qu’une partie du paragraphe plus long : « Je préférerais être cendre que poussière ! Je préférerais que mon étincelle s’éteigne dans un brasier brillant qu’elle ne soit étouffée par la pourriture sèche. Je préférerais être un superbe météore, chaque atome de moi dans une lueur magnifique, qu’une planète endormie et permanente. La fonction propre de l’homme est de vivre, pas d’exister. Je ne perdrai pas mes jours à essayer de les prolonger. J’utiliserai mon temps.
Pour en savoir plus sur Bond, consultez notre article sur l’avenir potentiel de la franchise dans Bond 26. Ou, si vous recherchez un peu de nostalgie, lisez notre classement des meilleurs films de James Bond, classés !