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« Born to Run: A Hidden Tribe, Superathletes, and the Greatest Race the World Has Never Seen » de Christopher McDougall raconte une histoire de course impliquant une tribu de super coureurs.
L’auteur du livre a eu un problème. Il aimait courir, mais son corps l’abandonnait. Lorsqu’il est allé voir des spécialistes pour découvrir quelle était la douleur dans son pied et comment la traiter, on lui a dit que courir n’était pas naturel pour le corps et qu’il aurait très probablement besoin de doses de cortisone s’il voulait continuer à courir. Cependant, il pourrait envisager d’arrêter sa course. Les spécialistes ont souligné que de nombreuses personnes ont été blessées en courant et que le corps n’était tout simplement pas fait pour toute la pression exercée sur les genoux ou les coups sur les pieds.
L’auteur était un écrivain et lors d’une mission au Mexique, il lisait un article de magazine qui a suscité son intérêt. Il a entendu parler d’une tribu de coureurs de fond pacifiques qui semblaient capables de parcourir de longues distances sans aucun problème. C’était une race de personnes appelée Taramuhara, qui se tenait à l’écart de la société. Ils étaient connus pour leur sérénité, leur bonne santé et leurs incroyables capacités de course. Il voulait en savoir plus sur eux.
L’auteur a retrouvé certains membres de la tribu et a appris l’existence d’un homme connu sous le nom de Caballo Blanco qui connaissait ces personnes mieux que quiconque. Il passa un certain temps à le retrouver et découvrit que l’homme avait une idée pour une course. C’était une course qui impliquait certains des plus grands coureurs du monde et le Taramuhara. Ces coureurs avaient tous une véritable passion pour le sport et non pour gagner seuls.
Au fur et à mesure que l’auteur faisait des recherches sur la course et découvrait ces personnes qui éprouvaient un réel plaisir à courir, il a appris à améliorer sa propre course à un point où il pouvait courir sans douleur. Les coureurs modernes avaient de nombreuses idées fausses, à commencer par les chaussures. L’une des meilleures façons de courir était de le faire naturellement et aussi près que possible des pieds nus.
Il apprit que le corps humain était fait pour la vitesse et la distance. Le Tarahumara n’a pas eu besoin de s’échauffer ou de s’entraîner. Ils faisaient ce que leur corps leur disait instinctivement de faire. Après avoir étudié ces grands coureurs, le meilleur conseil qu’un entraîneur puisse donner était de changer son alimentation pour agir comme si l’on était pauvre. Les boissons de fantaisie et les régimes de fantaisie n’ont pas mené à de grands coureurs.
L’auteur a fait des recherches sur des entraîneurs et des coureurs de fond. Il y avait un dénominateur commun avec les coureurs qui faisaient le mieux. L’auteur a commencé à réaliser que bien courir n’était pas une question de sport en lui-même, mais plutôt un succès qui découlait d’un pur style de vie. Non seulement les meilleurs coureurs étaient de bons coureurs, mais ils étaient de bonnes personnes qui partageaient un amour et une compassion pour ceux qui les entouraient.
L’histoire s’est terminée par une course dans laquelle les plus grands écrivains du monde se sont affrontés. Au lieu d’être impitoyable, c’est devenu une célébration des âmes sœurs qui se sont encouragées les unes les autres et ont vraiment embrassé le concept selon lequel tous les humains sont nés pour courir.
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