samedi, décembre 21, 2024

Mythes et histoires de l’archétype de la femme sauvage par Clarissa Pinkola Estés

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Évocateur et exaltant ! J’ai besoin de relire ça. Beaucoup, plusieurs fois.

Question :
… une cicatrice est plus forte que la peau… (c)
Question :
Le corps est un être multilingue. (c)
Question :
Même si l’on a des amis, ces amis peuvent ne pas être des soleils. (c)
Question :
Quand une vie est trop contrôlée, il y a de moins en moins de vie à contrôler. (c)
Question :
Rien ne fait mieux ressortir la lumière, l’émerveillement, le trésor que les ténèbres. (c)
Question :
Les talismans sont des rappels de ce qui est ressenti mais pas vu, de ce qui l’est, mais pas immédiatement évident. (c)
Question :
Les histoires sont des médicaments.

Évocateur et exaltant ! J’ai besoin de relire ça. Beaucoup, plusieurs fois.

Question :
… une cicatrice est plus forte que la peau… (c)
Question :
Le corps est un être multilingue. (c)
Question :
Même si l’on a des amis, ces amis peuvent ne pas être des soleils. (c)
Question :
Quand une vie est trop contrôlée, il y a de moins en moins de vie à contrôler. (c)
Question :
Rien ne fait mieux ressortir la lumière, l’émerveillement, le trésor que les ténèbres. (c)
Question :
Les talismans sont des rappels de ce qui est ressenti mais pas vu, de ce qui l’est, mais pas immédiatement évident. (c)
Question :
Les histoires sont des médicaments. (c)
Question :
Bien que les contes de fées se terminent après dix pages, ce n’est pas le cas de nos vies. Nous sommes des ensembles multi-volumes. (c)
Question :
Les histoires mettent la vie intérieure en mouvement, et cela est particulièrement important lorsque la vie intérieure est effrayée, coincée ou coincée. L’histoire graisse les palans et les poulies, elle fait monter l’adrénaline, nous montre le chemin vers la sortie, vers le bas ou vers le haut, et pour notre peine, elle nous coupe de belles portes larges dans des murs auparavant vierges, des ouvertures qui mènent au pays des rêves, qui mènent à l’amour et l’apprentissage, qui nous ramènent à nos propres vies réelles en tant que connaissant des femmes sauvages. (c)
Question :
Les chiens sont les magiciens de l’univers. (c)
Question :
Il n’y a rien de mal avec les canards, je leur assure, ou avec les cygnes. Mais les canards sont des canards et les cygnes sont des cygnes. (c)
Question :
J’aime utiliser des souris. Et si vous étiez élevé par le peuple des souris ? (c)
Question :
La femme sauvage revient. Par des rêves nocturnes, par des événements à moitié compris et à moitié remémorés. …
Prendre le monde dans ses bras et agir envers lui d’une manière remplie d’âme et fortifiante est un acte puissant d’esprit sauvage. (с)
Question :
Nous sommes tous remplis d’un désir ardent pour la nature. Il existe peu d’antidotes culturellement reconnus pour cette aspiration. On nous a appris à ressentir de la honte pour un tel désir. Nous avons laissé pousser nos cheveux longs et les avons utilisés pour cacher nos sentiments. Mais l’ombre de Wild Woman rôde toujours derrière nous pendant nos jours et dans nos nuits. Peu importe où nous sommes, l’ombre qui trotte derrière nous est définitivement à quatre pattes. (c)
Question :
Ne perdez pas votre temps à détester un échec. L’échec est un plus grand maître que le succès. Écoutez, apprenez, continuez. (c)
Question :
Chaque créature sur terre retourne à la maison. Il est ironique que nous ayons créé des refuges fauniques pour les ibis, les pélicans, les aigrettes, les loups, les grues, les cerfs, les souris, les orignaux et les ours, mais pas pour nous-mêmes dans les endroits où nous vivons jour après jour. Nous comprenons que la perte d’habitat est l’événement le plus désastreux qui puisse arriver à une créature libre. (c)
Question :
J’espère que vous sortirez et laisserez des histoires, c’est-à-dire la vie, vous arriver, et que vous travaillerez avec ces histoires… arrosez-les de votre sang, de vos larmes et de votre rire jusqu’à ce qu’elles fleurissent, jusqu’à ce que vous vous épanouissiez vous-même. (c)
Question :
Sois sauvage; c’est ainsi qu’on nettoie la rivière. La rivière ne coule pas polluée, on gère ça. La rivière ne s’assèche pas, nous la bloquons. Si nous voulons lui laisser sa liberté, nous devons permettre à nos vies idéologiques de se déchaîner, de se diffuser, de laisser n’importe quoi venir, de ne rien censurer dans un premier temps. C’est la vie créatrice. Il est fait du paradoxe divin. Pour créer, il faut être prêt à être stupide comme la pierre, à s’asseoir sur un trône au sommet d’un âne et à renverser des rubis de sa bouche. Alors la rivière coulera, alors nous pourrons rester dans le courant de sa pluie. (c)
Question :
Les portes du monde du Soi sauvage sont peu nombreuses mais précieuses. Si vous avez une cicatrice profonde, c’est une porte, si vous avez une vieille, vieille histoire, c’est une porte. Si vous aimez tellement le ciel et l’eau que vous ne pouvez presque pas le supporter, c’est une porte. Si vous aspirez à une vie plus profonde, une vie pleine, une vie saine, c’est une porte. (с)
Question :
Une femme peut avoir envie d’être près de l’eau, ou d’être à plat ventre, le visage dans la terre, sentant l’odeur sauvage. Elle devra peut-être conduire face au vent. Elle devra peut-être planter quelque chose, retirer des choses du sol ou les mettre dans le sol. Elle devra peut-être pétrir et cuire, enrober la pâte jusqu’aux coudes.
Elle devra peut-être marcher dans les collines, sautant de rocher en rocher en essayant sa voix contre la montagne. Elle peut avoir besoin d’heures de nuits étoilées où les étoiles sont comme de la poudre pour le visage renversée sur un sol en marbre noir. Elle peut avoir l’impression qu’elle va mourir si elle ne danse pas nue dans un orage, si elle ne s’assoit pas dans un silence parfait, si elle ne rentre pas chez elle tachée d’encre, de peinture, de larmes, de lune. (c)
Question :
Entraînez-vous à écouter votre intuition, votre voix intérieure ; poser des questions; être curieux; voyez ce que vous voyez; écoutez ce que vous entendez ; puis agissez selon ce que vous savez être vrai. Ces pouvoirs intuitifs ont été donnés à votre âme à la naissance.
(c)
Question :
Il est bon d’avoir plusieurs personnages, de faire des collections, d’en coudre plusieurs, de les collectionner au fur et à mesure de la vie. Au fur et à mesure que nous vieillissons, avec une telle collection à notre disposition, nous découvrons que nous pouvons représenter n’importe quel aspect de nous-mêmes presque à tout moment. Cependant, à un moment donné, plus particulièrement au fur et à mesure que l’on atteint la quarantaine et la vieillesse, les personnalités changent et se fondent de manière mystérieuse. Finalement, il y a une sorte de « fusion », une perte de personae complète, révélant ainsi ce qui, dans sa plus grande lumière, s’appellerait « le vrai moi ». (c)
Question :
Sortez dans les bois, sortez. Si vous ne sortez pas dans les bois, rien ne se passera jamais et votre vie ne commencera jamais. (c)
Question :
Lorsque la vie de l’âme personnelle est réduite en cendres, une femme perd le trésor vital… Dans son inconscient, le désir des chaussures rouges, une joie sauvage, non seulement continue, mais enfle et inonde… (c)
Question :
Vous êtes né d’une mère, mais si vous avez de la chance, vous en aurez plusieurs. Et parmi eux tous, vous trouverez la plupart de ce dont vous avez besoin. (c)
Question :
J’étais un esthète plutôt qu’un athlète, et mon seul souhait était d’être un vagabond extatique. (c)
Question :
Je n’ai pas oublié le chant de ces années sombres, hambre del alma, le chant de l’âme affamée. Mais je n’ai pas oublié non plus le joyeux canto hondo, le chant profond, dont les paroles nous reviennent lorsque nous faisons le travail de récupération émouvante. (c)
Question :
Les loups en bonne santé et les femmes en bonne santé partagent certaines caractéristiques psychiques : un sens aigu, un esprit joueur et une capacité accrue de dévotion. Les loups et les femmes sont de nature relationnelle, curieux, dotés d’une grande endurance et force. Ils sont profondément intuitifs, intensément préoccupés par leurs petits, leurs compagnons et leur meute. Ils ont l’habitude de s’adapter à des circonstances en constante évolution; ils sont farouchement vaillants et très courageux. (c)

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