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Dans son livre MYSTERY TRAIN: IMAGES OF AMERICA IN ROCK ‘N’ ROLL, Greil Marcus présente une déclaration profonde sur les débuts du genre musical rock ‘n’ roll. Marcus critique non seulement l’effet que la musique a eu sur les Américains, mais aussi l’effet que l’Amérique et sa condition à cette époque ont eu sur la musique qui était produite. Marcus commence son analyse avec deux chanteurs peu connus qu’il croit être les précurseurs de la musique rock ‘n’ roll, puis retrace l’évolution à travers Elvis, le « roi » du rock ‘n’ roll.
Cette critique de la musique rock ‘n’ roll commence avec les chanteurs Harmonica Frank et Robert Johnson. Marcus considérait ces chanteurs comme les précurseurs de la musique rock ‘n’ roll traditionnelle. Frank marque le rock avec l’idée d’une liberté débridée qu’il incarne dans sa musique et son style de vie. Johnson, d’autre part, aborde la frustration à laquelle les Américains sont confrontés lorsqu’ils ne sont pas en mesure d’atteindre le rêve américain. Johnson aborde également la réalité du mal dans le monde.
Marcus passe ensuite à la discussion sur la musique du groupe, Sly Stone, Randy Newman et Elvis. Ces groupes sont présentés comme des représentations des premiers groupes de rock ‘n’ roll. Marcus discute non seulement de la musique de chaque groupe mais aussi de l’atmosphère entourant la sortie de leur musique. Les sujets abordés incluent les tensions raciales, la poursuite du rêve américain, la réalité du mal et le besoin d’unité. À travers son livre, Marcus discute également de la déclaration que chaque musicien espère faire à travers sa musique. Il discute également de la réaction du public à la musique ainsi que de la réaction ou de la relation de l’artiste avec son public.
En conclusion, Marcus pense que les artistes dont il parle dans son livre sont ceux qui ont influencé d’une manière ou d’une autre le cours de la croissance américaine et la vie des Américains. Ils représentent chacun une partie de l’Amérique qui contribue à constituer l’ensemble du pays. Il termine en assimilant ces artistes à des démocrates menant une bataille sans fin entre l’art et la politique.
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