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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Sellers, Bakari. Mon pays en voie de disparition. New York : Éditeurs HarperCollins, 2020.
My Vanishing Country est un mémoire de l’avocat, homme politique, commentateur et activiste Bakari Sellers. Bakari a grandi au Danemark, en Caroline du Sud, une ville rurale, majoritairement noire et relativement pauvre. Les parents de Bakari étaient bien éduqués, mais ils avaient parfois du mal à subvenir aux besoins de leur famille. L’enfance et la jeunesse de Bakari au Danemark lui ont montré la prévalence problématique de la pauvreté et de l’inégalité raciale aux États-Unis.
Le père de Bakari, Cleveland Sellers, était actif dans le mouvement des droits civiques dans les années 1960. En février 1968, il dirigea une manifestation pacifique contre la ségrégation à Orangeburg, en Caroline du Sud. Les policiers ont attaqué les manifestants avec une force meurtrière, tuant trois personnes et en blessant 28 autres. Malgré les preuves selon lesquelles l’attaque était planifiée et que la police tentait spécifiquement de tuer Cleveland, aucun policier n’a été reconnu coupable de crimes. Pendant ce temps, Cleveland a été faussement reconnu coupable de tentative d’incitation à la violence. Bakari considère son père comme une source d’inspiration pour continuer à lutter pour l’égalité raciale en Amérique.
Bakari a fréquenté un lycée relativement sous-financé, mais l’accent mis par ses parents sur l’éducation l’a obligé à étudier dur. Il a été admis au Morehouse College, l’alma mater de Martin Luther King, Jr. Au cours de ses années universitaires, il s’est intéressé à la politique et a été actif au sein du gouvernement étudiant. Immédiatement après avoir obtenu son diplôme universitaire, il a lancé une campagne pour un siège à la Chambre des représentants de Caroline du Sud. Son adversaire, un homme blanc de 82 ans nommé Thomas Rhoad, occupait ce siège depuis 20 ans. Grâce à son travail acharné et à son optimisme, Bakari a réussi à remporter les élections. Il a prêté serment à l’Assemblée législative de l’État à 22 ans, faisant de lui le plus jeune élu noir du pays.
Bakari a commencé à fréquenter la faculté de droit tout en siégeant à l’Assemblée législative. Il a parfois été frustré par l’impasse politique au sein du gouvernement de l’État, mais il a bénéficié du précieux mentorat de législateurs plus âgés et plus expérimentés. En 2007, Bakari a soutenu Barack Obama à la présidence des États-Unis. Bakari était un militant actif et enthousiaste pour Obama, et il se sentait profondément satisfait de la victoire d’Obama. En 2014, Bakari a quitté la législature de l’État et a décidé de se présenter au poste de lieutenant-gouverneur. Malgré les avertissements selon lesquels il était presque impossible pour un démocrate de remporter un poste à l’échelle de l’État de Caroline du Sud, Bakari est resté déterminé. Malheureusement, il a perdu, mais il a été réconforté par le fait qu’il a réussi à remporter 41 % des voix.
Bakari discute brièvement des idées liées à la santé mentale. Depuis l’âge de 11 ans, il souffre d’anxiété chronique. Il espère que sa propre ouverture sur la santé mentale encouragera une culture accrue d’ouverture et de compréhension sur ces questions. Bakari évoque ensuite les manifestations modernes du racisme culturel et institutionnel, comme l’incident tragique au cours duquel un suprémaciste blanc armé a tué neuf personnes dans une église à majorité noire à Charleston, en Caroline du Sud. Il discute également de la manière dont les Américains noirs ont beaucoup moins accès à des soins médicaux suffisants que les Américains blancs. Bakari milite pour des soins de santé universels, qui bénéficieront à tous les Américains. Enfin, Bakari revient sur l’état actuel du pays. Il souligne le besoin urgent de s’attaquer à la dynamique du racisme qui façonne de manière persistante la culture et la politique américaines.
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