mercredi, janvier 22, 2025

Moi, la coriandre par Sally Gardner

[ad_1]

Bien que ce livre soit une histoire très unique et souvent bien écrite, je ne l’ai pas apprécié. Plus le livre avançait, plus les choses devenaient pratiques. À la fin, tout ce à quoi je pouvais penser était « qu’est-ce que c’est? »
L’intrigue entoure la jeune Coriander Hobie, qui à six ans désobéit à sa mère et met une paire de chaussures en argent qui la transporte dans un autre monde. À son retour, sa mère meurt, une belle-mère maléfique apparaît et son père disparaît.
Cela ressemble à une configuration parfaite de Cendrillon.
Mais ce n’est pas le cas ! moi, coriandre est beaucoup de choses, mais pas un récit de Cendrillon, malgré les similitudes initiales. Worldview Class va être la mort de mes plaisirs de lecture, car honnêtement, tout ce à quoi je pouvais penser étaient les incohérences de ce livre.
Par exemple, le père de Coriandre au début apparaît fortement comme une incrédulité en Dieu, la magie, les fées, etc. Pourtant, pour une raison quelconque, il pense qu’il « reverra sa femme ».
À une demi-exception près, chaque « chrétien » (si vous vous abaissez à les appeler ainsi) dans ce livre est une personne horrible, méchante et mauvaise. Presque sans exception. Ce sont les « incrédules » qui sont les sains d’esprit, les dévots qui sont les méchants. Pourtant, comment peut-il y avoir cette forte incrédulité en… la magie… si le thème sous-jacent de ce livre est qu’il existe ?
Ça ne colle pas !
L’intrigue devient également théâtrale. À un moment donné, Coriandre (qui n’a JAMAIS monté à cheval !) Elle combat les méchants et fait toutes ces autres choses, le plus dramatiquement.
Beaucoup de personnages sont introduits… et ignorés. Que leur arrive-t-il ? Personne ne sait.
La romance était bien trop liée.
La plupart de l’intrigue est commodément attachée. L’écriture, bien que jolie, devenait souvent ennuyeuse.
Donc là. Belle prémisse, mais je n’ai pas trop aimé.

[ad_2]

Source link

- Advertisement -

Latest