vendredi, novembre 29, 2024

Miroir (Poème) Résumé et guide d’étude descriptif

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La version suivante de ce poème a été utilisée pour créer ce guide : Plath, Sylvia. « Miroir. » Toute la poésie en ligne. https://allpoetry.com/poem/8498499-Mirror-by-Sylvia-Plath.

Notez que les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux vers du poème dont les citations sont tirées.

« Mirror » de Sylvia Plath, publié en 1961, présente un aperçu vulnérable des peurs d’une femme concernant la mortalité et le vieillissement. Composé de manière unique du point de vue d’un miroir, le poème est écrit en vers libres et s’étend sur deux strophes de 9 vers. Le poème commence de manière ludique, mais dévoile progressivement sa terreur sous-jacente et sa peur existentielle lorsque le miroir devient le reflet du vieillissement inévitable de la femme. « Mirror » a ensuite été publié à titre posthume.

« Mirror » a été publié peu de temps après que la deuxième grossesse de Plath se soit soldée par une fausse couche, un événement traumatisant qu’elle explore dans certains de ses autres poèmes. Plath a écrit plus tard dans une lettre que son mari, Ted Hughes, l’avait battue quelques jours seulement avant sa fausse couche. Connue pour lutter contre la dépression dès ses premières années, Plath s’est suicidée en 1963. « Mirror », comme beaucoup de poèmes les plus célèbres de Plath, reflète les idées du poète sur la mort, l’adversité et la tragédie. Plus précisément, « Mirror » aborde les thèmes de la beauté féminine, de l’identité, de la mort et du vieillissement.

« Miroir » commence par le locuteur, un miroir inanimé, articulant sa vision quotidienne, ses dimensions et son apparence, ainsi que ses pensées sur ce qui est réfléchi et contenu dans sa surface. Vers la fin de la strophe d’ouverture, le miroir évoque les « visages » (9), les « ténèbres » (9) et une femme qui le visite tous les jours, scrutant son apparence et déplorant le passage du temps. Ensemble, le poème se termine sur une note de chagrin et de peur retentissants : « En moi, elle a noyé une jeune fille, et en moi une vieille femme / Se lève vers elle jour après jour, comme un poisson terrible » (17-18).

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