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Le roman Mick Harte was Here de Barbara Park raconte l’histoire d’une famille qui doit accepter la mort d’un de ses membres dans un accident de vélo. L’histoire est racontée du point de vue de la sœur de Mick Harte, Phoebe. Phoebe raconte l’histoire des conséquences de la mort de Mick d’une manière à la fois sarcastique et déchirante. À la fin du roman, Phoebe utilise un bâton pour graver sur un trottoir de béton frais de son école les mots « MICK HARTE WAS HERE ». Ces mots sont l’hommage durable de Phoebe à son frère bien-aimé.
Phoebe commence son histoire en annonçant à ses lecteurs que son frère est mort. Elle ne veut pas présenter une histoire dans laquelle le lecteur aimerait son frère, puis apprendrait à la fin qu’il est mort. Phoebe inclut dans son dossier les événements du jour de l’accident de Mick. Les frères et sœurs se sont disputés ce matin-là et n’ont jamais réconcilié leur désaccord. Phoebe est en train de s’entraîner au football lorsqu’elle entend les sirènes de l’ambulance arriver à l’école. Lorsque son entraîneur lui dit que la personne pour qui l’ambulance arrivait était Mick, Phoebe se rend compte qu’elle le sait déjà.
Dans le reste du roman, Phoebe décrit le voyage de deuil que sa famille doit parcourir après la mort de Mick. La famille vit la dépression, la séparation, la colère puis enfin la réconciliation et un début de guérison. Il semble que la famille franchisse un cap lorsqu’elle assiste ensemble au service commémoratif de Mick. Au lieu d’être déprimant, ce service est plein de rires et d’histoires amusantes sur les pitreries de Mick.
La plus grande chose que Phoebe fasse en l’honneur de son frère est peut-être de participer à une assemblée sur la sécurité des cyclistes. Lors de cette assemblée, Phoebe fait une déclaration dramatique sur les dangers de ne pas porter de casque de vélo. Le lecteur apprend à la fin du roman que si Mick avait porté un casque au moment de son accident, cela lui aurait probablement sauvé la vie.
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