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Anne parle longuement de son enfance. Elle est l’enfant d’athées mais aime quand elle a la possibilité d’aller à l’église. Elle dit qu’elle a prétendu que l’église était stupide pour plaire à son père qui a été élevé par des missionnaires à Tokyo et méprisait le christianisme. Sa mère assiste parfois à la messe de minuit, mais les possibilités d’Anne d’aller à l’église se limitent en grande partie au moment où elle se rend avec un ami catholique ou ses grands-parents.
Travelling Mercies est en fait une série d’essais sur la vie d’Anne. La première est la plus longue et donne au lecteur un aperçu de son enfance et de ses premières années à peu près jusqu’au moment où elle renonce à l’alcool et à la drogue. Par la suite, il y a une série d’essais, chacun offrant un bref aperçu d’un aspect particulier de la vie d’Anne.
Les essais couvrent une gamme de sujets mais se concentrent sur son fils, Sam. Anne a failli se faire avorter lorsqu’elle tombe enceinte de Sam – sa deuxième grossesse. La première grossesse s’est terminée par un avortement. Elle parle à un ministre qui lui dit qu’elle devrait imaginer qu’elle vient de prendre la décision de se faire avorter et évaluer quelle serait sa réaction. Ensuite, elle doit imaginer qu’elle a décidé de ne pas l’avoir et comparer cette réaction. Elle dit que les conseils étaient judicieux et elle décide de ne pas se faire avorter. Elle utilise plus tard cette même tactique pour décider si Sam peut faire du parapente à sept ans. Lorsqu’elle considère qu’elle a refusé la permission, elle est ravie et s’en sert pour prendre sa décision.
Anne et Sam partent en vacances au Mexique pour nager avec les phoques, rendre visite à des amis et interagir avec ceux de leur église, St. Andrews. Anne l’appelle une église « funky » et dit que les gens là-bas deviennent sa famille et elle sait qu’elle peut toujours retrouver le chemin du retour à partir de là. Elle est écrivain de métier et a des périodes où elle a du mal à écrire, ce qui rend les finances difficiles. Elle s’occupe d’un trouble sanguin potentiellement grave avec Sam mais il s’avère que ce n’est rien. Elle s’inquiète pour sa propre santé car son père est décédé d’un mélanome. Sa mort laisse un trou géant dans sa vie et il lui faudra une vingtaine d’années avant qu’elle n’admette qu’elle est une personne sans père et que cela ne changera pas. Elle admet alors qu’elle a toujours essayé de façonner les hommes à l’image de son père et qu’aucun d’entre eux n’est capable de remplir cette place dans sa vie.
Anne prétend être chrétienne mais admet qu’elle est une mauvaise chrétienne. Elle dit que certains amis l’appellent « chrétienne ». Elle se réfère à Dieu comme «il ou elle» et admet à la fin du dernier essai qu’elle n’est même pas certaine à qui elle prie lorsqu’elle dit: «Merci, merci, merci». Elle dit que les deux prières les plus importantes sont « Merci » et « S’il vous plaît ». Les essais sont parfois humoristiques, parfois poignants et ont tous une leçon que la plupart des lecteurs comprendront et s’identifieront.
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