[ad_1]
David Sedaris, humoriste et écrivain, présente une compilation d’essais personnels comiques dans Me Talk Pretty One Day. Les essais sont enchaînés avec la manière candide de Sedaris et un thème linguistique persistant. Le livre est divisé en deux parties et, à quelques exceptions près, se concentre sur la première partie de la vie de Sedaris dans la première moitié et sur les années les plus récentes de sa vie alors qu’il vivait en France dans la seconde moitié.
Dans la partie 1, Sedaris se présente avec des histoires de son enfance où des séances importunes avec un professeur de discours et un professeur de musique révèlent qu’il a l’impression de ne pas s’intégrer. Pendant son enfance, Sedaris est conscient qu’il est l’opposé de son père, mais comme ses sœurs, partage sa personnalité plus créative et moins cérébrale avec sa mère. Il échange volontiers les discussions technologiques contre des discussions sur l’obtention d’un bronzage parfait.
Inspiré par l’habileté de sa sœur avec un pinceau, Sedaris commence un voyage intéressant en se développant en tant qu’artiste. Après avoir parcouru toute la gamme des spécialités artistiques, de la sculpture à l’art de la performance, Sedaris termine ses études à la School of the Art Institute of Chicago. Après ses études, il se lance dans l’ambitieuse mission d’animer un atelier d’écriture, qui s’avère être un flop.
Sedaris déménage à New York où il travaille d’abord comme assistant personnel d’une femme odieuse nommée Valencia, qu’il échange rapidement contre un travail éreintant en tant que déménageur. Tout au long de ce voyage hilarant, Sedaris se souvient fréquemment d’expériences bizarres avec des pigeons mal identifiés nommés Cheeky, des repas qui ressemblent à des pansements et du chocolat, et les restes non rincés des invités de la maison.
Dans la partie 2, Sedaris partage les histoires de ses aventures maladroites essayant de s’adapter à une nouvelle culture. Après avoir intelligemment tracé un avenir romantique pour lui-même et une nouvelle connaissance nommée Hugh, Sedaris vit peu de temps après heureux avec Hugh à New York.
Hugh et Sedaris font des visites d’été en Normandie, en France, où Hugh a une résidence d’été. Au cours de ces visites, Hugh passe le plus clair de son temps à réparer la maison, tandis que Sedaris tâtonne pour essayer de maîtriser la langue française. Il passe sa première année à cracher les mots « goulot d’étranglement » et « cendrier » comme réponses standardisées à presque toutes les questions.
Sedaris passe ses étés en France, développant plus de confiance avec la langue. Après six ans d’étés en France, Sedaris et Hugh décident de s’installer à Paris. Sedaris s’inscrit dans un cours de français une fois qu’ils ont déménagé à Paris, et son nouveau professeur rétablit immédiatement le doute de Sedaris. Il passe son temps à éviter la culture française, à se cacher dans les salles de cinéma ou sous un casque qui diffuse des livres sur bande en anglais.
Au cours de la seconde moitié du livre, la vie de Sedaris à Paris n’est qu’une autre toile de fond pour ses expériences quotidiennes hilarantes. Il lutte avec la langue française et, rappelant son enfance, développe des tactiques pour éviter certaines phrases. En tant qu’Américain à Paris, Sedaris commence également à voir le monde différemment, changeant son ton de celui de l’égocentrisme à celui de la conscience sociale.
Bien que le roman puisse à première vue sembler être un regroupement mal calculé d’essais qui rebondissent chronologiquement, Sedaris raconte en fait une histoire personnelle pleine d’esprit liée à des thèmes perspicaces.
[ad_2]
Source link -2