Des accusations d’un environnement de travail toxique ont récemment visé Matilda Djerf, influenceuse et fondatrice de Djerf Avenue. En réponse, elle a affirmé son engagement à créer un milieu sain et a présenté ses excuses si des employés s’étaient sentis maltraités. Djerf a reconnu certaines critiques tout en se distanciant d’autres, et a promis d’améliorer la culture d’entreprise avec son équipe. Pernilla Bonny, COO, a également mentionné des initiatives pour recueillir des retours des employés.
Les Révélations sur Djerf Avenue
Qu’est-ce qui s’est vraiment passé derrière les portes de Djerf Avenue ? Les récentes accusations visant l’influenceuse Matilda Djerf concernant un environnement de travail toxique ont suscité de vives réactions. En réponse à ces allégations, elle a publié une déclaration le 12 décembre, dans laquelle elle aborde ces préoccupations.
Une Réponse Sincère et Réflexive
Matilda Djerf a exprimé son engagement envers la création d’un milieu de travail sain et respectueux. « Je prends très au sérieux les critiques qui ont été formulées et je tiens à préciser qu’un environnement de travail sûr est essentiel pour moi, en tant qu’individu et fondatrice de Djerf Avenue », a-t-elle déclaré à un média suédois.
Elle a reconnu que si un employé s’est senti maltraité ou mal préparé en raison de ses actions, elle s’en excuse profondément. « Ce n’était jamais mon intention de contribuer à un environnement de travail néfaste », a-t-elle ajouté, mentionnant des accusations spécifiques d’humiliation envers des employés et des modèles grande taille.
Djerf a également souligné qu’elle ne se reconnaît pas dans toutes les accusations portées contre elle, mais elle voit ces critiques comme une chance de se développer et d’améliorer la culture d’entreprise. « Je vais collaborer activement avec mon équipe de direction pour garantir un meilleur environnement pour tous », a-t-elle déclaré.
En parallèle, Pernilla Bonny, COO de Djerf Avenue, a également abordé ces préoccupations, indiquant qu’ils sont conscients des domaines à améliorer, notamment en matière de leadership. Elle a précisé que des enquêtes anonymes mensuelles sont menées pour collecter des retours précieux des employés.
Les allégations continuent de faire surface, y compris des accusations sur l’utilisation des installations sanitaires de l’entreprise. Bonny a confirmé qu’une salle de bain privée avait été mise en place pour Djerf, mais cela ne devait pas nuire à l’accès des autres employés.
Il est essentiel pour Djerf Avenue de tirer des leçons de cette expérience et de s’engager à créer un lieu de travail où chacun se sent respecté et valorisé.