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Au printemps 1927, la région de la vallée du fleuve Mississippi est inondée, ce qui constitue peut-être la plus grande catastrophe naturelle de l’histoire des États-Unis. L’inondation et ses conséquences changeront profondément le gouvernement, la société et les relations raciales dans la région.
La vaste inondation couvre une immense quantité de terres et d’eau jusqu’à trente pieds de profondeur, déplaçant environ un million de personnes dans un pays de 120 millions d’habitants. Les zones inondées sont à peu près égales en taille à celles du Massachusetts, du Connecticut, du New Hampshire et du Vermont réunis. Des milliers de personnes meurent et plus d’un quart de million de Noirs vivent dans des camps de réfugiés pendant plusieurs mois. La Croix-Rouge nourrit près de 700 000 réfugiés pendant des semaines. De nombreuses personnes de toutes races quittent définitivement la région.
L’inondation met fin à l’aristocratie planteuse du Sud, déclenche une vague de migration noire vers le Nord et jette les bases de ce qui deviendra finalement l’intervention du gouvernement fédéral dans la région selon le New Deal. Le livre couvre plusieurs décennies de développement régional et de politique avant l’inondation, établissant les raisons historiques des modèles de peuplement et examinant en détail la logique derrière la politique de confinement des rivières de la région « uniquement par des digues ».
Le livre se concentre initialement sur plusieurs individus importants dans les premiers développements du fleuve et illustre comment ils, de concert avec leur époque, influencent les politiques qui mèneront au désastre. L’inondation elle-même est ensuite examinée, avec une attention particulière portée aux ruptures de digues. Les conséquences s’expliquent à la fois par les effets immédiats sur la région et par l’importance nationale plus large.
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