MANDEL: Un policier de Toronto qui s’est opposé aux mesures de santé COVID fait face à des accusations d’inconduite

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Police de Toronto Dét.-Const. Adrienne Gilvesy a fait sa première comparution devant un tribunal disciplinaire pour faire face à cinq accusations d’inconduite en vertu de la loi sur la police liées à son opposition ouverte aux mesures de santé COVID-19.

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Elle n’a pas encore inscrit de plaidoyer.

Selon l’avis d’audience, l’officier de la division 11 est accusé d’avoir prononcé un discours alors qu’il n’était pas en service lors d’un rassemblement « Liberté » le 18 septembre 2021 où elle a critiqué la législation gouvernementale et l’application des lois en relation avec la pandémie de COVID-19, « lois que, en tant que policier, vous êtes tenu de faire respecter. Elle est également accusée d’avoir dénoncé le service de police de Toronto et la commission de police.

Gilvesy a également assisté à une manifestation le mois suivant où elle a été interviewée par Nouvelles rebelles et aurait dénoncé en tant qu’agent de police les mandats provinciaux en matière de santé et son employeur.

Elle est également accusée d’avoir désobéi à un ordre qu’elle avait reçu environ une semaine plus tôt d’un superviseur des normes professionnelles de ne pas discuter de l’enquête interne sur sa conduite avec qui que ce soit d’autre que son avocat et son syndicat.

La mère de deux enfants fait face à des allégations similaires concernant un rassemblement de premiers intervenants luttant contre les vaccinations et les licenciements obligatoires le 1er novembre 2021, où elle a été interrogée par Médias de tout cœur.

La vétéran de 12 ans est en outre accusée d’avoir divulgué la «correspondance interne de la police» lors d’une interview en octobre qu’elle a accordée au Soleil de Toronto à propos d’elle faisant l’objet d’une enquête pour avoir parlé.

Elle est l’une des 15 agents actifs de la GTA qui ont déposé une plainte l’an dernier contre le gouvernement de l’Ontario, arguant que le fait d’avoir à appliquer la loi de la province COVID-19 mesures viole leurs droits garantis par la Charte.

L’affaire Gilvesy devant le tribunal revient le 7 juin.

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