Malgré ce que vous pourriez penser, les Canadiens n’ont pas vraiment la liberté d’expression

Tristin Hopper: Contrairement aux États-Unis, vous pouvez aller en prison au Canada pour avoir dit la mauvaise chose

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Lors des événements de Freedom Convoy, il était courant d’entendre des manifestants dire qu’ils défendaient les droits à la liberté d’expression ou à la liberté d’expression. Et le Canada se targue en effet d’être une terre de liberté d’expression… jusqu’à un certain point. Contrairement aux Américains, il y a plusieurs façons d’aller en prison au Canada simplement à cause de quelque chose que vous avez dit. Pour en savoir plus, regardez la vidéo Tout devrait être mieux ou lisez la transcription ci-dessous.

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Vous entendrez souvent des Canadiens parler de leur droit fondamental à la liberté d’expression. Mais, comme pour beaucoup d’idées fausses au Canada, il s’agit d’un cas où ils se confondent avec les Américains.

Oui, la « liberté d’expression » est garantie par notre Charte des droits et libertés, mais il y a une lacune assez importante que personne ne mentionne. Le préambule de la Charte mentionne explicitement que cette liberté est soumise à des « limites raisonnables ».

Il y a aussi le autre partie de la Charte où les gouvernements provinciaux peuvent écraser toute liberté qu’ils veulent, pourvu qu’ils annoncent publiquement qu’ils le font.

Tout cela est très différent des États-Unis, où vous n’avez que le premier amendement.

Mais au Canada, cela signifie que vous pouvez recevoir une amende ou même aller en prison en fonction de quelque chose que vous dites. Dites quelque chose sur Twitter qui « fomente volontairement la haine” et vous pourriez aller en prison pendant deux ans.

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