Mais peut-être que Dieu a besoin de la description du résumé et du guide d’étude de nostalgie


Lorsque Nelly Sachs a commencé à écrire, elle a écrit sur le désir d’un amant et sur la déception d’un amour perdu. Après ses expériences pendant l’Holocauste, la plupart des poèmes de Sachs traitaient de la destruction de la communauté juive européenne. Elle a utilisé ses poèmes pour exprimer le profond sentiment de perte et de chagrin qu’elle ressentait et comme une forme de catharsis pour les nombreuses émotions qu’elle avait vécues pendant les années de guerre. Bien que Sachs se soit échappé des camps de la mort, son évasion ne l’a pas laissée à l’abri des souffrances des Juifs qui ont été déportés. Bien qu’elle ait été élevée dans une famille laïque et non religieuse, l’expérience de l’Holocauste a approfondi l’engagement de Sachs envers le judaïsme. Beaucoup de ses poèmes, écrits après la guerre, reflètent cet engagement profond envers la religion. C’est certainement le cas de « Mais peut-être que Dieu a besoin du désir » (imprimé pour la première fois en 1966 dans Die Suchende) un poème dans lequel l’écrivain pose une raison pour l’inévitabilité de la mort et le chagrin qui résulte de la perte de l’amour. Ce poème apparaît dans un chapitre de Le chercheur et autres poèmes qui s’intitule « Dans les habitations de la mort », dans lequel Sachs parle des camps de la mort. Le thème dominant de « Mais peut-être que Dieu a besoin de l’envie », est celui de la mort. Dans ce poème, le poète exprime à la fois l’inévitabilité de la mort et le cycle de la renaissance qui sont des parties égales de la vie. Un thème de « Mais peut-être que Dieu a besoin du désir » suggère que les prières de nostalgie et de chagrin qui résultent de la mort créent la lumière des étoiles dans le ciel nocturne. Ces étoiles représentent le cycle continu de la naissance et de la mort qui font partie de l’existence de l’homme. La conclusion du poème pourrait être considérée comme une affirmation qu’il y a une vie après la mort, puisque le chagrin et le désir que l’humanité ressent perpétuent la mémoire de ceux qui ont été perdus. La représentation visuelle de ce chagrin et le souvenir de ceux qui sont perdus peuvent être vus dans la naissance de nouvelles étoiles.



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