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« L’Univers dans un seul atome » du Dalaï Lama est une exploration du lien entre science et spiritualité. Le livre est basé sur 40 années d’études auprès de grands esprits scientifiques, selon le Dalaï Lama. Dans ce livre, le Dalaï Lama aborde l’importance d’adopter la science, en comprenant qu’elle n’enlève rien à la religion.
Lorsque le Dalaï Lama commença son éducation à l’âge de six ans, il étudia tout ce qui avait trait au bouddhisme, mais il n’eut jamais d’initiation aux sciences ni aux mathématiques. En explorant les pièces de son palais d’hiver, il tomba sur des objets technologiques laissés par le treizième Dalaï Lama. Ces objets l’intriguèrent et il apprit à les utiliser. En démontant et en remontant des objets mécaniques, il s’ouvrit à des idées scientifiques. À la fin de son adolescence, il commença à voyager. Au cours de ces voyages, il rencontra des scientifiques qui lui firent découvrir différentes manières d’interpréter le monde physique.
Au lieu de le détourner de la religion, il a trouvé des parallèles entre les méthodes scientifiques et les pratiques religieuses. Il a réalisé que la science et la religion, si elles sont utilisées correctement, peuvent contribuer à rendre le monde meilleur et à aider les gens à prendre soin les uns des autres.
Le Dalaï Lama a été initié à la philosophie indienne ancienne dès son plus jeune âge. Il avait des tuteurs qui l’aidaient à apprendre différentes écoles de pensée bouddhiste. Pourtant, il s’intéressait davantage au démontage et au remontage de voitures et de montres qu’aux discussions philosophiques. Cela a changé lorsqu’il a eu 16 ans et est devenu le dirigeant du pays. Il s’est alors consacré à ses études.
Durant son exil, le Dalaï Lama s’est intéressé à la mécanique quantique. Il a découvert la résonance entre la nouvelle physique et la notion de vide que l’on trouve dans les études bouddhistes. En voyageant à travers le monde, l’homme a discuté avec d’autres scientifiques qui avaient des théories différentes sur le début de l’univers. Il a comparé la perspective bouddhiste à d’autres théories. Après avoir examiné les similitudes et les différences, il a réalisé que la question n’était pas vraiment de savoir d’où venait la vie. En réalité, c’était l’origine de la sensibilité qui était en cause.
Les scientifiques ont tenté de comprendre les origines de la vie et de comprendre le concept de conscience. Le Dalaï Lama a noté que ce concept était difficile car il se basait sur des observations à la première personne, alors que la science utilisait une analyse à la troisième personne. Il pensait que la science pourrait tirer profit des traditions contemplatives telles que le bouddhisme. Même si les bouddhistes n’étaient pas nécessairement conscients des réactions chimiques dans le cerveau, la tradition de la méditation leur a montré que l’esprit a une grande capacité de transformation et d’adaptation.
Le rôle de l’éthique dans la génétique est un domaine qui intéresse particulièrement le Dalaï Lama. Avec les progrès scientifiques réalisés dans le domaine du génie génétique des êtres humains, des animaux et de l’alimentation, il est essentiel de prendre des décisions sur ce qui est bien et ce qui ne l’est pas. Il estime qu’il est essentiel de tenir compte des effets à long terme du génie génétique. Il souligne également que la science doit tenir compte de ce qui est le mieux pour l’humanité et la planète.
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