mercredi, janvier 8, 2025

Lumières vives, résumé de la grande ville et description du guide d’étude

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Bright Lights, Big City raconte quelques jours désastreux de la vie d’un jeune écrivain en herbe dans le monde tourbillonnant et fou du jeune Manhattan des années 1980. Le narrateur du livre, en proie à un mariage raté et à un sentiment anonyme de perte et de culpabilité, regarde impuissant à distance d’une brume induite par la cocaïne alors qu’il gaspille son travail prestigieux et tout sens de dignité et de respect de soi. Sous le couvert d’une sensibilité ironique, imperméable à son environnement, il s’enfonce plus profondément dans un abîme de boîtes de nuit, de conversation creuse, de sexe et de drogue.

Le narrateur se réfère à lui-même à la deuxième personne, ce qui lui permet de combiner familiarité et distance et reflète bien le thème de la désintégration et de l’aliénation personnelle de l’histoire.

Le cadre alterne entre le travail de jour du narrateur dans un prestigieux magazine de Manhattan, jamais nommé, avec une longue tradition de publication de fiction, censé être The New Yorker, où il travaille au Département de vérification des faits, et ses incessantes sorties nocturnes en boîte. . L’histoire de son mariage avec Amanda, une mannequin du Midwest qui l’a quitté pour une vie à Paris, est racontée dans des flashbacks d’exposition. On nous donne également des vignettes descriptives de son passage au magazine et des bribes d’informations sur son éducation de la classe moyenne supérieure, profondément suburbaine pour expliquer plus en détail son sentiment d’aliénation et de perte, qui est finalement clarifié à la fin, quand on nous dit de la mort de sa mère exactement un an avant les événements qui se déroulent.

Son travail au Département de vérification des faits consiste à vérifier l’exactitude des faits dans les articles de journalisme du New Yorker, un travail qu’il trouve répugnant et en contradiction avec son ambition clairement affichée d’être un écrivain de fiction pour le magazine. Après une tentative bâclée de vérifier les faits d’une histoire sur les récentes élections françaises, il est licencié, ce qui est plus un soulagement qu’une surprise. À cette honte s’ajoute une tentative comique, accompagnée de son mentor inconduite, l’icône preppy Tad Allagash, de se venger en lâchant un furet dans les bureaux du magazine à minuit.

Les high jinks de deuxième année prennent cependant une tournure bien sombre lorsqu’il découvre que sa femme est en ville pour un défilé de mode. Utilisant son intelligence pour entrer dans le spectacle, il tente de perturber la procédure en appelant son nom alors qu’elle défile sur le podium. Il est douteux qu’elle l’entende, et il est plutôt jeté hors de la salle.

Le point bas de ce récit de dissolution survient lorsque le narrateur se vide dans un bar pour célibataires de l’Upper East Side et se retrouve dans le Queens avec une adolescente. Il sort furtivement de son appartement alors que ses parents lèvent à peine les yeux de la télévision. On ne sait pas ce qui est le plus honteux pour lui, d’avoir cherché du réconfort auprès de quelqu’un d’aussi jeune, ou de s’être retrouvé dans les arrondissements périphériques de la ville. En fait, le thème de la géographie sociale de New York est un riff constant, tout comme l’idée d’une perte de la foi et de la famille.

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