Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles affirme que les conditions violent ses garanties de liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique
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OTTAWA — Tamara Lich fait appel de ses conditions de mise en liberté sous caution alors qu’elle attend son procès pour des accusations liées à son rôle dans l’organisation d’une manifestation qui a créé une impasse au centre-ville d’Ottawa pendant plusieurs semaines.
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Diane Magas, une avocate représentant Lich, a interjeté appel des conditions de mise en liberté sous caution, y compris des restrictions sur l’utilisation des médias sociaux, devant un tribunal ontarien.
Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles, qui aide à relever le défi, affirme que les conditions violent ses garanties de liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique.
Le centre affirme que l’interdiction d’expression de Lich sur les réseaux sociaux, y compris les commentaires sur les mesures de santé COVID-19, n’a pas de « lien rationnel » avec un risque pour la sécurité publique ou de commettre d’autres infractions.
Lich a été arrêté le 17 février et a d’abord refusé la mise en liberté sous caution, mais cette décision a été annulée le 7 mars à la suite d’un examen.
Elle fait face à des accusations de méfait et de conseil pour commettre un méfait.
Ce rapport de La Presse canadienne a été publié pour la première fois le 25 mars 2022.
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L’organisatrice de la manifestation Tamara Lich a estimé qu’elle risquait de récidiver et s’est vu refuser la mise en liberté sous caution à Ottawa
Cette histoire a été produite avec l’aide financière du Meta et de la Canadian Press News Fellowship.