London, Ontario, la police a appelé sept fois au sujet d’un violent voleur à l’étalage de la LCBO, mais ne s’est jamais présentée

La police de Londres a mal géré sa réponse à un appel d’un agent de prévention des pertes de la LCBO qui a détenu un suspect de vol à l’étalage combatif pendant sept heures avant de finalement se faire dire que les agents ne viendraient pas, selon un examen interne de la police.

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La police de Londres a mal géré sa réponse à un appel d’un agent de prévention des pertes de la LCBO qui a détenu un suspect de vol à l’étalage combatif pendant sept heures avant de finalement se faire dire que les agents ne viendraient pas, selon un examen interne de la police.

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Un enquêteur de la LCBO a déposé une plainte concernant l’incident du 9 juin auprès du Bureau du directeur de l’examen indépendant, l’agence qui traite les plaintes concernant la conduite de la police en Ontario, trois semaines plus tard.

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L’agence provinciale a transmis la plainte à la police de Londres pour qu’elle enquête. La direction des normes professionnelles du service a examiné la plainte et a rédigé un rapport qui sera présenté jeudi à la commission des services policiers de la ville.

« Un examen du service de la plainte a révélé des problèmes en ce qui concerne le traitement de l’appel de service et des mesures correctives ont été prises pour y remédier », indique le rapport que le chef adjoint Paul Bastien présentera à l’organisme de surveillance civil.

La police a été appelée vers 16 heures après que des agents de prévention des pertes d’un comptoir de la LCBO ont arrêté un suspect de vol à l’étalage, qui avait résisté à son arrestation. Le suspect a tenté de s’échapper et a agressé le personnel, ce qui a déclenché six autres appels à la police au cours des heures suivantes, indique le rapport de trois pages.

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Un superviseur de la patrouille de police a appelé l’agent de prévention des pertes à 23 heures pour lui dire qu’aucun agent n’était disponible et lui a ordonné de libérer le suspect, selon le rapport.

Au cours de la fenêtre de sept heures, le centre de communication de la police a reçu 50 autres appels plus prioritaires classés comme urgents ou d’urgence, indique le rapport.

La police de Londres classe les appels en trois catégories : les appels d’urgence impliquant des situations mettant la vie en danger, des crimes ou des problèmes urgents qui ne sont pas en cours actuellement et les problèmes qui ne constituent pas une menace immédiate pour la sécurité publique.

Les statistiques de la police montrent le temps de réponse moyen pour les appels liés à des problèmes qui ne constituent pas une menace immédiate pour la sécurité publique, appelés appels de code 3, est passé à près de 110 heures l’année dernièrecontre un peu moins de huit heures en 2018. Les délais de réponse pour les crimes ou les problèmes urgents qui ne sont pas en cours actuellement, connus sous le nom d’appels de code 2, sont passés à plus de sept heures, contre 90 minutes quatre ans plus tôt.

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L’enquête interne a déterminé que l’appel de la LCBO n’avait pas été transmis après que des informations sur le comportement violent et les tentatives d’évasion du suspect ont été reçues et qu’aucune enquête de suivi n’a été menée, indique le rapport.

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À la suite de l’examen interne, le personnel du centre de communications et les agents de patrouille ont reçu des directives concernant les appels impliquant des arrestations de non-officiers. Les directives comprenaient la transmission appropriée des appels en fonction des circonstances, le renvoi rapide des décisions concernant l’arrestation ou la libération au superviseur de la patrouille et la nécessité d’une communication initiale entre un agent de première ligne et la personne détenant le suspect.

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Une procédure relative à la libération des individus arrêtés par une personne autre qu’un agent de la paix est en cours d’élaboration, indique le rapport.

La loi canadienne permet aux membres du public d’arrêter des suspects qui ont commis un crime et de les remettre en garde à vue.

Les politiques de la LCBO en matière de vol sont fondées sur les lois fédérales et provinciales, a déclaré un porte-parole.

« Une fois arrêté, la loi exige que les agents de sécurité remettent le suspect à un policier. Dans ce cas, la police de Londres n’a pas pu arriver rapidement et, comme le suggère le rapport, elle prend des mesures correctives pour garantir que cela ne se reproduise plus », a écrit le porte-parole dans un communiqué envoyé par courrier électronique.

Le mois dernier, le chef de la police Thai Truong a exposé son plan pour réduire les délais de réponse de la police comme pièce maîtresse de son projet de budget sur quatre ans, vantant la demande de dépenses de 475 millions de dollars comme un moyen de moderniser la force et de changer la façon dont les services sont fournis à la communauté.

Le conseil de police a approuvé le budget proposé, mais il doit encore obtenir le feu vert du conseil municipal.

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