Les administrateurs qui président aux « défaillances ESG importantes devraient être invités à démissionner rapidement », a déclaré le fonds

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L’Office d’investissement du régime de pensions du Canada prend des mesures pour s’assurer que les sociétés de son portefeuille évitent les ennuis et respectent les normes ESG.
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L’OIRPC, avec 550,4 milliards de dollars d’actifs, a également mis à jour jeudi ses principes de vote par procuration pour les conseils d’administration classés, affirmant qu’ils « entravent activement le droit des actionnaires de demander des comptes à des administrateurs spécifiques chaque année ». Compte tenu de ce point de vue, un vote contre tous les administrateurs sera envisagé lorsque des votes contre un ou plusieurs administrateurs qui ne sont pas rééligibles sont justifiés, a indiqué le fonds.
Sur le front ESG, l’OIRPC a déclaré que les sociétés en portefeuille doivent identifier, quantifier et intégrer dans leur stratégie les risques et opportunités climatiques. Les administrateurs qui président aux « défaillances ESG importantes devraient être invités à démissionner rapidement », a déclaré le fonds.
L’OIRPC a également étendu le seuil de 30 % pour la diversité des genres dans les conseils d’administration à l’Afrique du Sud et à la Nouvelle-Zélande.