L’Iran condamne à mort une femme pour adultère, selon les médias d’État

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TEHERAN, Iran — Un tribunal iranien a condamné à mort une femme pour adultère, ont annoncé les médias d’État.

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Un article du journal IRAN publié mercredi indiquait que la femme travaillait comme entraîneuse dans un gymnase pour femmes.

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Il indique que son mari a contacté la police en 2022 lorsqu’il l’a trouvée avec un autre homme à leur domicile. Le mari a découvert grâce aux caméras de surveillance qu’elle entretenait des relations avec d’autres hommes, précise-t-on.

Selon la loi iranienne, elle peut faire appel.

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Les tribunaux iraniens condamnent parfois des personnes à mort par lapidation pour adultère, peines qui peuvent être réduites à des peines plus légères en appel.

L’Iran subit des pressions internationales en raison de son recours massif à la peine de mort. Mercredi, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que l’Iran exécutait des personnes à « un rythme alarmant ». Il a indiqué qu’au moins 419 personnes ont été condamnées à la peine capitale au cours des sept premiers mois de cette année, soit une augmentation de 30 % par rapport à la même période de l’année dernière.

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En 2017, un tribunal a condamné une femme à mort pour adultère, mais aucune exécution n’a été signalée.

Les crimes passibles de la peine de mort comprennent l’adultère, la sodomie, le meurtre, le viol, le vol à main armée, l’enlèvement et le trafic de drogue.

En 2022, l’Iran a exécuté deux homosexuels reconnus coupables de sodomie.

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