Linda Blair, l’actrice emblématique de *Exorcist*, fait face à des sanctions potentielles après avoir manqué une audience judiciaire concernant un procès contre sa fondation, la Linda Blair WorldHeart Foundation. Les plaignants, Stephanie et Edgar Najar, accusent des chiens de la fondation d’avoir blessé leur poney miniature. La fondation conteste ces accusations et affirme que les dommages proviennent d’actions extérieures. Une nouvelle audience est prévue pour évaluer les conséquences de l’absence de Linda et de ses représentants.
Linda Blair face à des sanctions judiciaires potentielles
La célèbre actrice de Exorcist, Linda Blair, se retrouve dans une situation délicate alors qu’elle pourrait faire l’objet de sanctions après avoir manqué une audience judiciaire, plusieurs mois après que son avocat l’ait abandonnée. Des documents judiciaires révèlent qu’une audience a eu lieu le 9 janvier au tribunal supérieur de Los Angeles, concernant un procès intenté par Stephanie Najar et Edgar Najar contre la Linda Blair WorldHeart Foundation, une organisation à but non lucratif dédiée à la réhabilitation des animaux maltraités.
Des accusations graves et une réponse de la fondation
Le tribunal a programmé une nouvelle audience pour le 21 janvier afin d’évaluer la nécessité de sanctions contre la fondation de Linda, à la suite de son absence ainsi que celle de tout représentant légal. Cette situation est survenue après que les avocats de la fondation aient demandé à être retirés de l’affaire, invoquant une rupture de la relation professionnelle avec Linda. Selon les déclarations de l’avocat, la communication avec la fondation a été presque exclusivement avec Linda, entraînant des complications dans la défense de l’affaire.
Le procès a été initié par Stephanie et Edgar, qui vivent à proximité du refuge pour chiens de Linda, accusant deux pitbulls de leur fondation d’avoir blessé leur poney miniature. Selon les plaignants, ces chiens auraient déjà causé des incidents similaires dans le passé. Ils cherchent désormais des dommages-intérêts non spécifiés, tandis que la fondation de Linda a catégoriquement nié toute responsabilité, affirmant que les dommages subis par les plaignants résultent d’actions externes et non de la fondation.
L’affaire se poursuit et les prochains développements pourraient avoir des répercussions importantes pour Linda Blair et sa fondation.